Outlaw and Outsider (Jason Todd)

Sujet: Outlaw and Outsider (Jason Todd) 12.05.22 22:54

Rappel du premier message :

Outlaw and Outsider

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C’est bien ma veine tiens! Une fermeture des frontières de la part du nouveau maire (qui est BATMAN, how fucked is that?), alors que je n’ai pas encore pu m’éclipser de cette ville. Un coup de malchance, vraiment. Je ne demande qu’à en partir moi, je ne suis même pas citoyen de cette foutue ville, à peine un touriste qui repart bredouille en plus. Ça ne fait définitivement pas remonter Gotham dans mon estime parmi les villes du coin. Je suis sûr que même Metropolis est plus sympa que Gotham bon sang!

En temps normal, j’aurais fait en sorte de filer à l’anglaise, sans qu’on ne me remarque. Sauf que je suis en terrain (quasi) inconnu. Je n’ai pas pris la peine de connaître tous les recoins de la ville, uniquement la partie contenant ce que je cherchais, ainsi que les meilleures routes pour fuir la scène du crime le plus rapidement possible. C’est pourtant très loin de couvrir l’entièreté de la ville qu’est Gotham. Trop grande, trop sombre, trop dangereuse. Une ville qui ne manquera pas de me dévorer tout cru si je n’adapte pas mon jeu à ses règles. Pour l’instant, j’ai pu me trouver une planque et éviter Mick (et la nouvelle milice), dans le quartier de la pègre de Gotham. Si j’ai dû geler une ou deux mains qui tentaient de s’en prendre à moi, ce n’est que de bonne guerre. Je suis peut-être un cambrioleur avant tout, mais que ces guignols ne pensent pas une seule seconde que je ne sois pas capable de me salir les mains. Pour ma survie, je le ferais sans aucune hésitation.

Cependant, je n’ai pas à en venir là, parce qu’ils ont bien vu que même avec un bras cassé en convalescence, je ne suis pas une proie facile. Ils ne m’acceptent pas vraiment parmi eux et je ne peux que les comprendre, je ne suis pas du coin et je viens marcher sur leurs plates bandes. Pas vraiment par choix, mais par la force des choses. Malgré tout, je ne souhaite pas passer le reste de ma vie dans ce trou. Oh non, j’ai une sœur et des Rogues à retrouver dans ma ville natale. Il faut que je trouve un moyen de sortir d’ici. De passer ces frontières qui transforment de plus en plus la ville en prison géante. Où les gardes prennent un malin plaisir à torturer les prisonniers. Pour ça, il me faut des infos. Fiables, précises…Quelqu’un du cru. Quelqu’un qui en connaît un peu sur feu le Chevalier Noir, qui peut m’aider à penser comme lui…Au moins un peu.

On m’indique un certain Red Hood. Inconnu au bataillon, en même temps, à part le Joker, peu d’infos sur les criminels notoires me sont parvenues de cette ville maudite. Mais qui ne tente rien n’a rien. Alors je le cherche, je creuse pour des informations, afin de le trouver, ce Red Hood. Ironiquement, on me dit que East End est le meilleur endroit pour espérer le croiser. Alors je reste sagement posé, et j’attends, j’observe, je parcours…Je guette. Après de longues semaines à faire chou blanc, enfin il est là, naviguant entre les gens, dans les rues. Il me le faut seul. Heureusement, il finit par tourner dans une ruelle que je sais quasi déserte. Je l’y suis et quand je ne le vois pas, je reste sur mes gardes. sortant les mains des poches de ma veste en cuir (les montrant vides malgré le Cold Gun attaché à ma cuisse droite) et ouvre la bouche.

“Red Hood?” pas de réponse pour le moment, alors je continue “Je crois que toi et moi devrions avoir une petite discussion.”

Coup de poker que je joue là, mais il me faut ces infos.

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Sujet: Re: Outlaw and Outsider (Jason Todd) 28.09.22 23:24

Outlaw and Outsider

ft @Jason P. Todd

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Tiens, lui aussi est sous la promesse faite à un tiers? Je n’aurais pas cru cela de Red Hood. Enfin, qu’est-ce que j’en sais, après tout j’ai accepté de ne plus tuer qu’en cas de légitime défense parce que Barry a su trouver les arguments pour me convaincre (entre autre que ça rendrait le jeu bien plus gratifiant qu’en éliminant bêtement les obstacles et…il n’a pas tort le bougre).

“Ah, toi aussi? Bienvenu au club de ceux qui ont fait une promesse à un tiers concernant un possible bodycount.”

Je me demande comment il réagirait s’il savait que c’était avec le Flash lui-même que j’ai eu cet accord. La pensée m’amuse intérieurement un court instant, puis mon attention revient toute entière à mon compère du moment qui n’hésite pas à me menacer. C’est de bonne guerre après tout, surtout vu ce qui a transpiré entre Mick et moi un peu plus tôt. Je ne peux pas lui en vouloir de faire attention à ses arrières.

“C’est bien noté.”

Qu’il n’espère pas que je sois plus confiant de mon côté. Au moindre signe qu’il veuille me planter un couteau dans le dos, autant dire qu’il n’en n’aura pas le temps. Il connaît peut-être des milliers de façon de me faire souffrir, mais moi je ne m’encombre pas de tout ça, j’élimine les problèmes quand ils deviennent trop encombrant et point final. Je ne suis pas resté en vie aussi longtemps dans mon métier en étant un bon samaritain et un abruti de première (je me demande encore, des fois, comment Barry est encore en vie avec sa propension à croire au meilleur chez tous….mais passons).

On ne va pas se mentir, l’escapade dans les égouts n’est pas ma tasse de thé et celle de l’autre homme non plus, clairement. Cependant, j’ai déjà connu pire, et je sais que ce n’est que pour quelques heures tout au plus. Je ne sais pas quelle distance fait ce tunnel avant la sortie que souhaite Red Hood, mais ça ne pourra pas durer éternellement, et je m’accroche à cette idée pour oublier mes alentours pour le moins peu ragoûtant.

Enfin on arrive à une échelle et j’ai hâte de sentir l’air frais (même si pas pur) de la ville sombre qu’est Gotham. Besoin de ne plus me sentir en cage. La claustrophobie n’est pourtant pas dans la liste des problèmes que je possède, ça ne veut pas dire que me retrouver dans un endroit aussi fermé quand je suis pourchassé est agréable, bien au contraire. Je ne suis pas à l’aise de le savoir monter en premier, mais vu ma situation, j’ai plutôt intérêt à faire profil bas…pour le moment. J’accepte sa main, sortant finalement de ce trou puant et humide, et ai un petit rictus amusé. Puis me vient une idée.

Avec le couvre-feu, rester dehors, à découvert, est la pire idée du monde, on s’accordera tous à le dire. Il nous faut une planque. Fut la réserve, justifiée, qu’émet Red Hood, je doute qu’il nous mène à une de ses planques et puis il faut que je termine de montrer patte blanche. En plus j’ai ma blessure au flanc qui me tire et je dois vérifier que je n’ai pas déchirer les sutures donc…ma planque it is.

“On est où exactement là?” bon d’accord je ne connais pas encore la ville par coeur, sue me. Une fois la réponse parvenue, je hoche la tête et ferme les yeux un instant le temps de me refaire la carte mentale de Gotham et d’y trouver le plus court chemin pour rejoindre ma planque. “Suis-moi. On va dans ma planque, je n’aime pas rester à découvert comme ça, et puis j’ai besoin d’un ou deux trucs là-bas.”

Sur ces quelques mots et un geste à Red Hood de me suivre, je m’engage dans les rues de Gotham, prudemment, pour arriver jusqu’à l’emplacement de ma planque.

“Fais comme chez toi. On devrait être tranquille jusqu’au matin ici.”

Sans plus de préambule je me dirige vers la petite salle de bain, prêt à me resuturer si besoin était, laissant soin à Red Hood de visiter les lieux. Deux pièces, sombres, aménagées de façon spartiate, mais de quoi se faire à manger et dormir. Après tout, je ne compte pas rester ici des années…

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Sujet: Re: Outlaw and Outsider (Jason Todd) 20.11.22 20:04

Outlaw and Outsider.

Red Hood & Captain Cold

What was silent in the father speaks in the son, and often I found in the son the unveiled secret of the father. Friedrich Nietzsche.

- Me dis pas quoi faire, tu maugrées plus par habitude distante, que par réelle conviction quand l’homme t’enquis de le suivre.

Pour être tout à fait honnête, tu ne t’attendais pas à ce que Cold te conduise à sa planque, par quand il est évident qu’aucun de vous ne fait confiance à l’autre, deux hommes avisés et réalistes dans un monde dangereux. D’abord un peu réticent, bras croisés sur ton torse bombé, tu finis tout de même rapidement par le suivre : t’es curieux, quelque part, de ce que le citoyen de Central City peut te raconter. Peut-être un peu trop ? Mais c’est toujours mieux que de rester dehors avec la nuit bien avancée et plusieurs milices collées aux baskets. Quitte à tomber honteusement dans un piège.

L’endroit est suffisamment discret pour ne pas attirer l’attention, mais plus que convenable pour une planque. Tu hoches la tête quand il te dit de prendre tes aises et disparait dans ce qui s’apparente à une salle de bain.
Le tour du propriétaire est rapide, l’endroit n’est pas bien grand mais dispose de tout le nécessaire pour vivre, un petit confort supplémentaire. Machinalement et par habitude tu scannes ton environnement, notes mentalement toutes les issues potentielles et inspectes à la recherche du moindre détail compromettant, que tu ne trouves pas. Satisfait, ou alors il sait bien cacher ses traces. C’est probablement le cas de toute manière, l’homme est un calculateur expérimenté, tu ne peux pas le nier, il n’est pas du genre à laisser les choses au hasard. Tes doigts sur les surfaces planes glissent lentement. Sur les murs et les étagères, tout est froid, impersonnel. C’est comme ça dans votre monde, on ne s’attache pas aux choses. Tu connais le sentiment : dans ta planque principale, tes effets les plus personnels se résument à une vieille roue de batmobile, et une photo de ton premier jour en tant que Robin. Bien cachées. Tu soupires, avances un peu plus loin dans la maison sécurisée, un endroit aisément laissé derrière s’il se trouvait compromis. Comme, par ta présence. Tu hausses les épaules. Ce n’est pas comme s’il avait été contraint de te trainer jusqu’ici, même si un nouveau QG serait facilement mis en place dans un autre recoin de Gotham, il n’en reste pas moins que ce serait bien trop contraignant et que Cold aurait bien plus à perdre dans la manoeuvre. Alors tu apprécies, un peu, son effort.

Tes mains se dirigent sur l’attache de ton casque de carmin. T’hésites un instant, formé depuis tes plus tendres années à protéger ton secret, garder ton visage couvert au monde entier. Surtout, tu sais que tes choix ne te regardent pas seulement, mais aussi des personnes dont t’es proche, quoi que tu en penses, quoi que tu dises. Alors que la plupart des chauve-souris les plus proches du maire ont fait tomber les masques, Tim ne s’est pas révélé au monde, et tu sais que Dick non plus, même si beaucoup de rumeurs circulent sur leurs alter egos. Toi, ton existence, ajoute de l’ombre sur le tableau presque trop clair ; t’es l’une des dernières clefs quant au mystère de leurs identités déjà bien vulnérables. Mais t’as beaucoup changé depuis ta dernière apparition publique dans les médias, d’enfant tu es devenu homme ; ton visage aussi a été bien trop vieilli par le temps, usé, malmené par les affres de la vie, plus qu’il ne l’aurait dû. T’es un fantôme, un revenant, tu n’existes plus dans les bases de données. Le monde de toute manière a oublié Jason Todd, second fils de Wayne, cadavre dans le placard du roi de la ville – au sens littéral. Si quelqu’un devait te reconnaître, ce serait certainement pas un criminel fraîchement débarqué d’une autre ville, entre tous. Alors, t’oses retirer ton casque, parce qu’il serait bien trop étrange de garder la parure sur ton crâne et le brouilleur de voix dans ce contexte, pour converser. Tu gardes néanmoins ton masque domino sur les yeux, comme si cela pouvait suffire à faire de toi un monsieur tout le monde, comme si tu n’avais pas d’autres signes distinctifs sur ton visage -- un J cicatrisé sur la joue et une mèche blanche sur le crâne. Déformation professionnelle. Généralement, les gens t’imaginent bien plus vieux que tu ne l’es réellement, simplement au milieu de ta vingtaine ; plus intimidant aussi. T’entretiens l’illusion, avec tes artifices, avec ta carrure imposante. Mais la vérité c’est que tu te fiches de ce dont t’as l’air. Tu profites de ta présence dans la petite cuisine pour te laver les mains et passer un peu d’eau sur ton visage, ce n’est pas suffisant pour retirer la sensation nauséabonde des égouts sur ta peau de toute manière.

Quand le propriétaire revient t’es assis sur le canapé, bras étalés sur le dossier et un verre de tu ne sais pas même quel alcool à la main. Ton casque est posé à côté de toi, et tes armes dans leurs holsters, bien en évidence sur tes cuisses. Tu lèves ton breuvage face à lui, un second verre l’attend sur la table entre vous.

- T’as dit d’faire comme chez moi, tu arques un sourcil.

Tu te redresses, amène le liquide brûlant à tes lèvres et en sirote une gorgée.

- Alors, dis-moi, maintenant que j’suis désaltéré. Toutes les informations que tu cherches, je les ai. Je connais Wayne, ses habitudes, sa manière de penser. J’suis dans sa tête. J’connais ses tics, sa routine matinale et même sa marque de chaussettes préférée. Pour faire court, j’ai été… hm… proche de lui. Tu fais un signe évasif de la main. Physiquement. Mais j’ai besoin de savoir. Comment tu comptes t’y prendre avec lui, jusqu’où t’es prêt à te mouiller pour te tirer d’là ? Et quels bénéfices j’aurais à causer ?

Sujet: Re: Outlaw and Outsider (Jason Todd) 09.01.23 10:47

Outlaw and Outsider

ft @Jason P. Todd

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C’est un coup de poker que je fais là. Je brûle un endroit safe pour espérer m’assurer une alliance dont j’ai besoin dans cette ville. Quelle sensation désagréable que d’avoir besoin de l’aide de quelqu’un. Chercher, ponctuellement, d’un talent est une chose. Sentir que quelqu’un ou quelque chose est une nécessité pour sa propre survie n’est pas quelque chose dont j’ai l'habitude, plus depuis des décennies. Même Lisa, que je chérie plus que tout dans ce monde crasseux, n’est pas une nécessité. Mick, parlons-en, même s’il n’avait pas décidé de changer de camp, il ne m’aurait pas été plus utile que sans être là. La sécurité dans le nombre, tout au plus. Non, j’ai pris l’habitude de ne compter que sur moi-même pour ma survie. Les casses et autres opérations sont des boulots qui impliquent plus de personnes pour des raisons particulières, mais aucune pour ma survie personnelle. Alors devoir montrer patte blanche à un autre criminel (ou vigilante, whatever he is), juste pour avoir les infos nécessaires à ma survie? Mon égo en prend un coup.

Je l’abandonne dans la pièce principale le temps d’aller voir dans la salle de bain l’état de ma blessure, peu inquiet. Je n’ai que quelques maigres possessions ici, et encore. Tout ce qui est réellement important à transporter pour moi se trouve dans ma parke (qui est avec moi actuellement. Après tout, initialement, ça ne devait pas être un séjour de plusieurs mois que je devais faire à Gotham, juste quelques semaines, le temps de voler le cadeau d’anniversaire de Lisa et de repartir. Rien n’est allé comme ça aurait dû. Retirant mon haut j’observe le bandage, intact, mais un peu sale. Prenant le temps de le refaire proprement, j’en profite pour me débarbouiller un chouia, la douche viendra plus tard. Une fois tout ça fait, j’enfile un autre haut (un henley noir) puis retourne dans la pièce à vivre, où la scène me tire un sourire amusé. Secouant la tête devant l'incongruité de la vision qu’offre Red Hood avec son masque sur le visage, mais son casque retiré, assis tranquillement dans mon canapé avec un verre de scotch à la main, je prends le second verre et le vide d’une traite.

Finalement, les questions tombent et je m’adosse contre un meuble face Red Hood, Question plus que légitimes s’il en est. Un de mes sourcils se hausse en apprenant qu’il a pu être proche physiquement du Maire de la ville…Lisa aurait sauté sur l’occasion pour faire un sous-entendu graveleux, pour ma part, ça m’intrigue pour bien des raisons, mais je tais mes questions. Ce n’est ni le moment, ni le lieu. Ni ma place pour le moment. Peut-être plus tard, si j’arrive à percer un tantinet cette carapace qu’il porte (à juste titre).

“Comment je compte m’y prendre dépendra de ce que j’apprends sur sa façon de faire. Je pourrais te citer…oh, une bonne douzaine d’alternatives génériques, mais rien ne vaut un plan crafter avec des informations solides.” Je me ressers un verre, vodka cette fois, avec deux glaçons dedans “Jusqu’où je suis prêt à aller?” t’as un petit rire dans un souffle “Tant que je repars en vie, très loin. Je suis déjà un ennemi aux yeux de votre brave Maire, un peu plus un peu moins…De plus, je ne connais personne dans cette ville, ou presque, ces gens n’ont pas de valeurs à mes yeux, pas plus que des pions sur un échiquier.” Je fais honneur à mon monicker, froid et calculateur comme on me connaît “Quand à ce que tu en tires? Je mets mon humble expertise et mes maigres moyens à ta disposition tant que je suis dans cette ville.” finis-je, tendant les bras sur les côtés et courbant légèrement l’échine en une moquerie de courbette, un rictus sur le visage "Surtout que nos objectifs risquent de se croiser, autant joindre l'utile et le pratique. Si je peux récupérer mon partenaire au passage, ça serait un bonus, mais je doute d'y arriver…tant pis.”

Cette pensée me blesse plus que je ne veux bien l’admettre (et encore moins montrer). Mick et moi ça remonte à loin, malgré nos différends et jusque là, nous n’avions jamais été opposés comme nous le sommes ici, est-ce que notre amitié pourra survivre à cette phase de notre vie? Seul l’avenir nous le dira.

CODAGE PAR AMATIS

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