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 it's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason)

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AuteurMessage
Barbara L. Gordon
the princess saves herself in this one.

Barbara L. Gordon
faceclaim, crédits : emma stone,cheekeyfire. pseudo, pronom(s) : TICKETS TO MY DOWNFALL., elle. batarangs récoltés : 54 date d'inscription : 17/01/2022

it's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason) Tumblr_inline_qwiqkxrZ6f1xrhyyw_500

nom de code : (( batgirl ))
âge du personnage : (( twenty eight ))
occupation : (( librarian ))
allégeance : (( batman ))

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-- (( BATGIRL ))
she's an undiscorved element, either born in hell or heavensent. she's not acid, nor alkaline. caught between black and white. not quite either day or night. she's perfectly misaligned.
it's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason) 29797520c7e99aba76215d618197c6ccit's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason) Dfd5ce2766cfac3f37e58b2b0ff9a2a0it's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason) E8bafbce86004eb52be52be74080a129

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THE VICIOUS CYCLE WAS OVER
the moment you smiled at me.

is it the way that you talk that's causing me to freak? is it the way that you laugh that's making my heartbeat ? if it the way that you kiss ? it's gonna be the way you taste. is it the way that you feel against my body ? is it the way that you act so damn naughty ? you're such a gorgeous nightmare, hold habits never seem to go away. you make me feel brand new, we're resurrect it's like i've come back to life.


MessageSujet: it's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason)   it's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason) Empty03.11.22 11:01


i've got a lot of bad things in my mind, the stimulation is crahsing by design. my mind is dangerous, you don't play with things you don't know. i'm falling into the dark thoughts that i find, reality is long gone, but that's fine. (music) -- ft. @jason p. todd.

Le bruit habituel du liquide qui ne remonte pas dans la paille se fait entendre, t'arrachant une légère grimace. Un soupire s'échappe d'entre tes lèvres tandis que de ton perchoir, tu observes la skyline qui se dessine sous tes prunelles. Tout semble si calme. Si doux depuis cet angle de vue. Ca te tord presque le cœur, c'est même fou. Comment une ville peut paraître si douce de l'extérieur mais si toxique une fois qu'on comprend plus son fonctionnement.
Enfin, tu essaies de comprendre. T'es une personne rationelle Barbara, une personne qui ne croit que ce qu'elle voit mais ça t'étonnerait pas d'apprendre un jour que cette ville est en fait maudite. En fait, tu te plais à le croire. Qu'elle réussit, par une manière inconnue, à convertir toute les petites âmes les plus pures. Ou qu'elle fait simplement ressortir le pire de certains.

Etrangement, elle semble guérir certaine pathologie aussi. Et c'est justement ça qui est contradictoire. Comment les rôles ont-ils pu s'inverser à ce point ? Comment les choses ont-t-elles pu dégénérées à ce point ?
Un regard rapide sur ta montre t'indique qu'il est déjà tard. Ou tôt au choix. Tu dois t'lever dans quelques heures pour aller travailler, troquant costumes et petites ailes pour une vie des plus lambdas. Redevenir celle que tout le monde connait, Barbara, fille du commissaire, si douce, si calme, si … parfaite. Une image que tu te plaisais à conserver pour les apparences mais que les personnes les plus proches de toi savent comme étant fausses. Toi aussi, t'as des défauts qui pèchent. Toi aussi, t'as des pensées sombres Barbara. Toi aussi, Gotham elle tente de te faire sombrer dans ses méandres parfois, mais tu résistes. Tu repousses toute ces auras néfastes qui s'emparent de toi lors de tes terreurs nocturnes, chaque cellules de ton être se combat contre toi même pour ne pas penser à la fatalité ultime. Parce que tu te sens coupable de penser ça. Tu te sens coupable de pouvoir ne serait-ce que l'envier, silencieusement.
Encore plus maintenant.

Tu peux pas dire que tu ne crois pas aux secondes chances. Ca serait mentir en fait. Parce que pour tout dire, tu voulais croire en le meilleur de l'humanité. Mais dans une ville telle Gotham, était-ce ne serait-ce qu'envisageable ? T'étais incapable de savoir. Ton cœur voulait y croire mais ton cerveau semblait se retrouver face à une équation insolvable. Parce que peut-être qu'aujourd'hui il s'affichait comme le sauveur de Gotham, mais ton cerveau lui, l'associait encore à tout l'opposé de l'image qu'il présentait aujourd'hui. Tu en arrivais à redouter le sommeil car dés que tu levais les yeux quelque part, si ce n'était pas l'image de Bruce que tu voyais, tu retrouvais celle de sa némésis.
Dans l'fond, tout n'est qu'une question de balance. Le bien ne peut exister sans le mal. Et le mal ne peut exister sans le bien. Et toi, t'es juste prise entre deux, dans cette éternelle dichotomie. Soit tu suis ta ligne de conduite, soit tu en dévies. Sauf que aujourd'hui, il est presque impossible de savoir les conséquences si toi aussi, tu finissais par pêter les plombs. C'est pour cette exacte raison que tu te décides d'attraper ton téléphone et d'écrire un rapide texto. « Clock Tower, 6h45. » Il comprendra. Tu sais qu'il comprendra.

Tu avances ton pieds, tout en te mettant sur la pointe de l'autre et de la manière la plus naturelle qu'il soit, tu laisses la gravité faire son travail. Attirée vers le sol, tu uses de ta cape pour planer jusqu'à ta moto que tu t'empresses d'enjamber. Et sur la route, tu en profites pour te débarrasser de ce gobelet qui ne contenait que l'eau des glaçons.


three hours later – 6h15.
Tu aurais pu dormir. Mais après seulement trente minutes passer dans ton lit à regarder le plafond, tu en avais décidé autrement. Tu voulais pas perdre ton temps, alors à la place, tu t'étais contenté d'une routine habituelle. Lire, passer du temps à faire du tri sur ton ordinateur et surtout t'activer pour ta journée de travail. Le temps était passé rapidement, au final et alors que tes cheveux étaient encore humide, tu préparais tout pour l'heure du rendez-vous donner quelques heures plus tôt. Et alors que tu verses la pâte dans la poelle, un bruit derrière toi te fait réagir. Tu fixes le carelage du mur de la cuisine en face de toi et tes automatismes reviennent automatiquement. Tu attrapes un couteau de cuisine à côté de toi et tout en te retournant tu le lance. Il se plante dans le mur, pas loin de la tête de Jason. Tu avais volontairement loupée, pour la simple et bonne raison que c'était plus un moyen de destabilisé un potentiel intrus. Et tu te pinces les lèvres en balayant la tête sur le côté. – Prévenir que tu aurais …  Un rapide regard à ta montre – Trente minutes d'avance t'aurais tué ? Tu ris légèrement avant de t'avancer vers lui pour venir récupérer l'ustentile qui peut très facilement se transformer en arme. – Heureusement que j'ai volontairement visé à côté. Tu hausses un sourcil en gardant ce petit sourire au coin des lèvres. – Mais merci d'être venue. Je suis vraiment contente de te voir. Et j'veux pas paraître désespérée en disant que j'en avais vraiment besoin mais … j'en avais vraiment besoin. Tu déclares avant de lui faire signe de te suivre. Tu aurais pû contacter n'importe qui d'autre. Mais t'avais contacté Jason volontairement. Parce que personne d'autre ne comprenait vraiment tes états d'âmes qui te rongeaient. Et y avait des jours où c'était plus facile que d'autre. Aujourd'hui faisaient partis des mauvais jours, ceux où tu redoutais tes propres pensées et où tu avais besoin de simplement penser à autre. – Pancakes, ça t'va ? Tu demandes en t'activant sur celui qui était en train de cuire pour le retourner et l'observer dorer. En soit, le combo parfait pour bien finir la nuit. Où commencer la journée, au choix.

(c) mars.
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Jason P. Todd
little red riding hood

Jason P. Todd
doubles comptes : floyd lawton, richard grayson couleur rp : #9c231c faceclaim, crédits : richard harmon (a) twizzle (s) lomakes pseudo, pronom(s) : twizzle (she) batarangs récoltés : 353 date d'inscription : 15/03/2022

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nom de code : [RED HOOD]. Il eut autrefois survolé les toits de Gotham sous les couleurs de Robin, le second du nom, puis porté le casque de l'Arkham Knight.
âge du personnage : [26]. Quelques années perdues en cours de route cependant.
occupation : [OUTLAW] Divers mandats d'arrêt issus de différentes agences gouvernementales à son actif, il botte des fesses et travaille sous couverture dans les bas fonds d'un casino.
allégeance : [MY ASS]. Ses actions le rapprochent davantage de la résistance, dont font partie ses plus proches alliés, mais il suit son propre commandement.

liens utiles : FICHE LIENS/RPS PHONE MOODBOARD SPOTIFY PINTEREST

Well. Shit.

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(( my name is jason todd. or better known to the NSA, CIA, homeland security, FBI, KGB, mossad and interpol as the red hood. ))

Dog the emotional support american staff ◈ morning person ◈ ptsd ◈ compulsive smoker ◈ neat freak ◈ former robin ◈ former arkham knight ◈ former crime lord ◈ j scar ◈ white streak ◈ classic literature ◈ claustrophobic ◈ rich bitch ◈ roommate with replacement.

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Keep your head high.
And your middle finger higher.


MessageSujet: Re: it's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason)   it's like praying for rain when you're already drowning. (ft. jason) Empty18.01.23 15:14


It's like praying for rain when you're already drowning.

Jason & Barbara


Les défauts de l'âme sont comme les blessures du corps. Quelque soin qu'on prenne de les guérir, les cicatrices paraissent toujours et elles sont à tout moment en danger de se rouvrir. ― François de La Rochefoucauld..

Les mots de Bruce, encore, résonnent dans ta tête, lacèrent ton crâne de l’intérieur comme une mélodie tortueuse qui jamais ne s’en va ; hymne dont les percussions coïncident au rythme effréné de tes phalanges qui cognent contre la chair. Contre les os. Masquent à peine les gémissements du misérable de cuir masqué à tes pieds. Ton bras se porte mieux, ça tire, ça menace de craquer -- mais ça veut dire qu’il est encore là, n’est-ce pas ? Un léger rictus amer déforme la courbure un peu trop crispée de tes lèvres : au moins, c’est une pensée positive, tes frangins seraient fiers. Ca fait des semaines maintenant, mais la blessure persiste – partiellement étouffée par les plus anciennes ; ces cicatrices qui te font bien plus mal que celles qui recouvrent chaque parcelle de ton corps. Celles qui ne se voient pas, celles que t’aimerais oublier. Celles, qui jamais n’ont été traitées et qui aujourd’hui t’empêchent d’entretenir une relation saine avec toi-même, te poussent constamment à te flageller sur le champ de bataille. Toutes ces marques, tu les dois pour la plupart à lui seul que tu continues d’admirer, malgré toi, tout autant que tu le détestes. Pris dans tes pensées, ta vision vire au vert. Tu crispes la mâchoire, serres les dents puis secoues la tête. Tu tentes de jouer les gros durs Jason, te complais dans cette image de celui qui devant les problèmes ne fait que lever son majeur, insensible et froid. Eteint. Tu portes le masque depuis si longtemps que t’as réussi à toi-même te convaincre que rien ne peut t’atteindre ; mais au fond tu ne fais que te réfugier derrière ce cynisme méprisant, et t’es bien plus vulnérable que tu le crois.
T’arrêtes ton bras dans les airs, observes la silhouette désormais poupée de chiffon dans ta main. Ton poing au-dessus de ton épaule se relâche, tu fais craquer chaque doigt un à un dans une grossière vague. Finalement tu relâches le criminel et l’abandonnes inconscient au milieu de la ruelle. T’es pas comme les autres, Red Hood, t’apprécies pas particulièrement la hauteur. Sous ton masque, t’es un rat des rues, tu vis dans l’obscurité et la crasse, loin de la lumière des projecteurs, des appareils photo ou même de l’espoir. Tout comme quand t’étais encore minot. Ici, dans l’ombre où personne ose mettre les mains, les choses n’ont pas franchement changé. La terreur existait bien avant que Bruce ne devienne maire après tout. Toi non plus t’as pas changé dans le fond. T’est toujours alimenté par la colère et la rancœur. Et la peur.
De ta poche tu sors un mouchoir blanc. Ta veste est recouverte de salive et de sang séché, le tiens mais surtout celui des sales types ;  alors que tu tournes le dos à la scène de ton crime et commences à marcher tu frottes ton cuir pour en retirer la crasse, historique bien succinct de tes méfaits. T’as obtenu tes informations, c’est tout ce qui compte. Si seulement étaient là tes seules préoccupations… La poche intérieure de ton blouson vibre une fois, et en regardant l’écran de ton portable tu fronces les sourcils.

T’es rentré au loft, un peu peuplé ces derniers temps, plus tard dans la nuit ; tu t’es douché, t’as bandé tes mains abimées avec de la gaze avant de retourner te blottir auprès de Rose. Dans la chaleur et la sécurité de son enlace, là où les cauchemars deviennent supportables. Une heure plus tard tu reviens dans le monde éveillé, tu fais attention à ne pas déranger la jeune femme dans ton lit lorsque tu te lèves. T’enfiles grossièrement un jogging confortable et après une rapide séance de méditation, t’avales un café, attrapes un vieux hoodie rouge et ton cuir pour faire le tour du quartier avec le chien. T’es pas même surpris de noter que le nerd n’a pas dormi, bien trop obnubilé par la tâche que de se servir un énième café pour te questionner sur ton départ.
Pour ce que tu en sais, le message pourrait être un piège. Comme les autres t’es recherché par le gouvernement, par Batman ; depuis ta captivité t’en es plus conscient que jamais. Tu sais que le maire ne plaisante pas, et que les coups bas sont permis. Mais c’est de Babs dont il s’agit, et pour être tout à fait honnête, cette idée ne te traverse pas même une seconde l’esprit. Dans ta vie t’as été lâché, trahi et mis à terre bien trop de fois pour les compter, souvent par les personnes les plus proches ; tu souffres de ce syndrome de l’abandon depuis l’enfance qui t’empêche de faire confiance aux autres. Et pourtant il y a ces quelques personnes qui sont parvenues à franchir ces frontières, sur lesquelles tu sais pouvoir t’appuyer. Ces personnes qui ont gagné ta foi et ta loyauté, et Barbara en fait partie. Elle en a toujours fait partie. Même quand, aveuglé par la trahison et la folie, tu t’es retourné contre la famille, que t’as mis la ville à feu et à sang. Parce que t’as l’impression qu’elle est la seule sur qui t’as toujours pu compter, et qui te comprend un peu mieux que les autres, comme toi tu la comprends.

Alors te voilà dans la cuisine de Barbara, tu ne bouges pas même à la griffure de l’air quand le couteau frôle la cicatrice de ta joue, sourire arrogant qui déforme tes traits. « Easy, girl », tu lèves grossièrement les mains devant toi, puis lèves les yeux au ciel lorsqu’elle évoque ce qui pourrait te tuer. « Been there, done that. And look I’m still here, yay. But this… », tu montres vaguement de ton pouce par-dessus ton épaule la lame enfoncée dans le mur, « …could have. ». Tu la fixes faussement accusateur, puis souris à sa réponse tout aussi narquoise que toi et balayes finalement l’air d’un mouvement las du poignet. « Anyway. You know me Babs. You know that I’m an early bird ». T’as toujours été très matinal, même au manoir, même après de longues nuits de patrouille. Le matin c’est calme, tu peux lire en paix, plus sereinement aussi. Cependant si t’es là si tôt, en toute honnêteté, c’est surtout parce que tu t’inquiètes à propos du message, de ce petit rendez-vous - parce qu’elle est chez les bats et que vous n’êtes pas supposés vous voir, mais aussi parce que dans ton expérience, c’est un mauvais signe quand on fait volontairement appel à toi. Mais t’évites de le lui dire. Alarme confirmée par ses paroles, par ce grain de voix que tu ne connais que trop bien et les sourires pour faire bonne figure. Ce que tu ne mentionnes pas non plus, tu lui laisses à la place de l’espace et lui rends tout aussi sincèrement son sourire. « I’m happy to see you too. Pancakes would be perfect, I’m starving. ». Tu déposes ta veste sur le dossier d’un tabouret qu’elle t’indique et t’assois de l’autre côté du comptoir. T’observes quelques minutes la rouquine s’activer sur la pâte en train de cuire, les odeurs sucrées qui commencent à te faire saliver, sans vraiment savoir quoi dire. T’es pas l’animal le plus sociable, il faut dire. Alors un peu maladroitement, bien que tu tentes d’avoir l’air sûr de toi, tu passes une main à l’arrière de ta nuque avant de la cacher dans la poche avant de ton hoodie et de tirer dessus. « So Babs… Why I’m here ? What’s in your red head ? » et puis, plus bas, « you know that you can always talk to me, right ? ».

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