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 TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.

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Maître du Jeu
what have you become ?

Maître du Jeu
couleur rp : #FFFFFF. faceclaim, crédits : ilayo (a). pseudo, pronom(s) : ilayo, crevette, fulgrimander. batarangs récoltés : 452 date d'inscription : 17/01/2022

TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Ce93

nom de code : maître du jeu.
âge du personnage : infini.
occupation : vous mettre des bâtons dans les roues.
allégeance : personne.

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MessageSujet: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty20.03.22 9:15

TOPIC COMMUN NUMÉRO UN

Gotham est celle qu’elle est. Un véritable trou noir, absorbant toute la lumière environnante pour la convertir en quelque chose de sombre, de délicieusement obscur. Une ville qui ne fait aucun cadeau, une ville digne des plus grands films d’horreurs parce que c’est ici même qu’à lieu l’horreur ultime. Gotham, elle a pour but de les faire tous tomber, ceux qui auraient tendance à un peu trop briller, à offrir un peu trop d’espoir et qui, telle des supernovaes finissent par simplement exploser pour ne faire plus qu’un avec la noirceur de cette ville. Gotham, c’est presque comme si elle avait une entité propre, que le poumon de celle-ci n’était autre que cette noirceur dont elle continue constamment de se nourrir.
Des personnes bien ont fini totalement déboussolées, les meilleurs sont tombés, les uns après les autres jusqu’à ce que l’espoir ultime de cette ville de voir un jour les choses changer finisse par lui aussi, tomber dans le tourbillon ultime qu’est Gotham. Bruce Wayne, l’éternel philanthrope qui faisait plus que n’importe qui s’est lui aussi laissé emporté par ces ténèbres donnant à Gotham cet air encore plus glauque que jamais.

Pourtant, dans la noirceur, parfois, une once d’espoir apparaît. Une once de bonté, une bonne cause qui rassemble tout l’monde. Pas toujours pour les bonnes raisons, mais Gotham est Gotham, et Gotham ne changera jamais. Gotham vit grâce aux familles fondatrices et aux divers évènements permettant à l’élite de cette ville d’apparaître, de rappeler qui fait les règles, qui domine. L’Élite ultime, ceux qui délaissent les plus démunis et qui se réjouissent de leur misère pour pouvoir recruter et payer de manière ingrate des petites mains désabusées par un système corrompu jusqu’à la moëlle. Pourtant, tout l’monde préfère se voiler la face, aller à ses évènements mondains, l’occasion parfaite pour sortir ses plus belles tenues et s’afficher sous son plus beau profil. Et c’est exactement ce que c'est ce soir.

L’éternel Gala de charité qui, à Gotham est un événement presque aussi attendu que le MET. Toute la brochette de célébrité est présente, qu’il s’agisse des politiciens corrompus, des mafieux qu’on ne présente plus - et qui font profil bas depuis le changement d’état d’esprit de Batman -, de journalistes ou de simples petites têtes connues à Gotham. C’est simple, toute personne ayant une certaine influence possède la chance de pouvoir se hisser dans les couloirs de cet hôtel de ville aux allures luxueuses le temps d’une nuit afin de se montrer sous son plus beau profil, siroter du champagne hors de prix et laisser un joli chèque. Si le but officiel est simplement de récolter des dons pour l’Orphelinat Thomas & Martha Wayne, il n’empêche que tout n’est pas toujours tout rose. Parce que si les conflits politiques s’arrêtent le temps d’une nuit, il n’empêche que les tensions sont bien là. Les masques sont juste dressés pour offrir un peu de tranquillité à tous et à toutes, mais personne n’est dupe. Tout le monde sait que c’est pour mieux se poignarder dans le dos après.


- Merci de mettre en spoiler vos actions et de taguer les gens avec qui vous interagissez.
- Pas de limite de mots, pas d'ordre précis pour l'instant. Laissez juste le temps à tous les participants de répondre de manière générale.
- Sortez vos plus beaux costumes/belles robes et amusez vous. Mais dévalisez pas trop les petits fours. eyes eyes
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MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty13.04.22 13:27



Everybody thinks that we are perfect.


Gotham défile, indiscernable à travers les vitres, avalée par la vitesse du bolide qui glisse le long des sombres avenues. Le moteur gronde, les pneus crissent, attirent l'attention des requins amassés devant l'hôtel de ville. Elle s'arrête de justesse, deux roues sur le trottoir, le capot frôle un journaliste qui préfère jurer entre ses dents, ravale le peu de fierté qu'il possède pour s'écarter au lieu d'oser regarder celui qui a failli le renverser. Tu sais pourquoi ils sont là, tous, des vautours assoiffés des derniers potins et ragot qu'ils pourront dénicher, les riches et puissants qui espèrent se faire mousser, les pathétiques mondains qui ne cherchent qu'à animer leur misérable existence. Ça t'fait presque sourire, le moteur tourne encore, empêche les hauts placés de retourner à leurs mondanités, parce qu'à présent t'as leur attention, et tu vois déjà les caméras, les appareils et téléphones brandit dans ta direction. Pas toi, pas pour l'instant, la Batmobile tout simplement, l'une de celle que tu viens de dérober pour te rendre à cette foutue soirée. T'as été obligé, tu souhaitais pas y participer, mais t'as pas vraiment eu le temps de discuter alors tu t'es comporté comme le gamin pourri que t'es. Pennyworth devait t'accompagner, s'assurer que tu sois le digne héritier de l'homme qui sera au centre de la soirée, mais t'as préféré lui échapper, incapable d'accepter qu'on puisse te chaperonner.

Le moteur est coupé, tu sors, directement avalé par les murmures et flashs autour de toi, pas un regard dans leur directions, pas même aux plus courageux qui osent te poser des questions. Le costume du rouge-gorge abandonné le temps d'une soirée pour un costard parfaitement ajusté, des tissus hors de prix, une cravate serrée, tu contournes la voiture, ne songe même pas à la déplacer, à eux de se pousser, de s'écarter pour te laisser passer, et avant de la verrouiller, tu ouvres la porte passager, libère celui qui va t'accompagner.

Titus se tient à présent à tes côtés, droit, fier, les oreilles dressées et tu sais qu'il ne fera que dissuader un peu plus ceux qui oseraient s'approcher. Le Grand Danois à tes côtés, tu avances, toises le gratin de Gotham sans sourciller jusqu'à finalement entrer. Tu ignores ce que tu feras de ta soirée, t'espère juste trouver quelque chose d'intéressant à exploiter, mais pour l'instant tu te contentes simplement de déambuler parmi les invités, ignorant avec facilité les regards ou salutations qui te sont adressées.

Premier arrêt au buffet, petite halte pour ramasser les hors-d'œuvres fraîchement cuisinés, t'allais en prendre quelques-un pour les donner à ton chien, mais t'as croisé le regard du serveur, un mélange de haine et de rancœur, des sentiments qu'il essaie de dissimuler derrière un masque, celui de la professionalité sans pour autant y arriver. Tu prends ça personnellement, attrapes le plateau complet, soutenant le regard de cet homme tandis que tu baisses le plateau sous le museau de ton chien.

« Titus, go.»

Petit sourire qui déforme tes traits face au dégoût de cet homme qui voit le canidé engloutir l'entièreté de ce qui lui est présenté, ne laissant qu'une traînée de bave visqueuse là où étaient présentés les canapés.

« Bon garçon.»

Le plateau claque, résonne sur le sol lorsque tu le laisses simplement tomber sachant très bien qu'il sera obligé de le ramasser. Tu fais un petit mouvement de tête à ton chien, lui indique de te suivre quand tu t'éloignes, il marche au pied, reste à tes côtés, surveille le monde qui commence à affluer tout comme toi, observant les visages familiers ou non qui te sont si déplaisant.

AVENGEDINCHAINS


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MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty13.04.22 21:12



Everybody thinks that we are perfect.


Le myocarde tambourine sous le tissu de la chemise blanche et du costume rose. Paumes moites, timidité habituellement étrangère affichée aux pommettes roses, le faste et le luxe se font apparat nocturne qui t'éblouit et t'aveugle. Univers qui t'es inédit, sensation étouffée alors que la foule tout autour se meut en une houle humaine. L'appartenance au GCPD t'a fait entrer, invité de peu de renommée, les minois sont réputés, tu te fonds dans les silhouettes, esseulé et éperdu. Tu n'es personne - et ce n'est pas pour te déplaire. Quelques collègues, aux uniformes troqués contre smokings élégants, saluent ta présence de sourires faux, de sourcils haussés et surpris. Tu leur décoches un regard noir de tes mirettes féroces - marques masculines, touche peut-être inutile d'une élégance rare, les chaussures neuves cliquètent sur le sol comme des balles cascadant d'un revoler. Lente avancée, pour camoufler la difficulté du mouvement, l'inhabitude, le domptage complexe du costume qui cintre. Un peu de grandeur, à toi qui es moineau au milieu des paons.

Imposant brouhaha qui se pare de cliquetis des photographes. Tout n'est qu'apparence, artifices et hypocrisie. Tu observes, amusé, les flirts fourbes d'intérêts monétaires, les discussions ennuyantes aux propos creux, les faussetés joyeuses des grands de Gotham. Tu n'as guère ta place ici, et la coupe de champagne entre tes doigts sert d'alibi à ton entêtement. De proches jeunes filles, fleurs de soie et de velours, chuchotent soudain. Curieux, tu feins l'intérêt du buffet pour t'approcher. Autant que tes oreilles servent à quelque chose ; qui sait ce que la Résistance pourrait apprendre, au détour de fastidieux verbiages ? Les regards semblent tournés vers une silhouette - et tes mirettes pâles s'accrochent à une ombre que tu ne connais que trop bien. Aussitôt, tu lèves le nez, cherchant le paternel Wayne - car c'est le cadet chauve-souris, Damian, qui se trouve là, vêtu de son minois arrogant et présomptueux.
Et un chien.

Tes prunelles s'écarquillent. Nul doute que l'animal - et le comportement ouvertement outrageux du garçon - fait parler de lui. Ces damoiselles ont-elles peur que la bête, immense, sombre, ne se jette à leurs mollets ? Toujours aussi discrètement, tu sondes la foule - Tim est-il là ? Et Rose, Jay ? Nul doute qu'ils feront leur apparition, mais sous quelle apparence, sous quelle identité ? Tu n'as pas à cacher tes traits, ce poids ne t'est pas fardeau. Bousculant sans ménagement les donzelles, accrochant un sourire de fausse excuse à tes lippes insolentes, tu fends la marée humaine, frôlant des tenues coûtant sans aucun doute plus cher que tout ce que tu as pu dépenser dans ta vie. La splendeur laisse un goût amer. Toutes voiles dehors, imagées par ta chemise blanche et ta veste qui se meut au gré de tes mouvements, tu t'avances aussi rapidement que tes jambes peuvent te porter. Tu te plantes près de lui, yeux dans les yeux - et tu réalises, alors que tu souris, que vous vous regardez réellement dans les yeux et que tu es plus grand que lui.

« Monsieur Wayne. » Entre respect et taquinerie. Puis, sans autre forme de procès, tu te penches et proposes ta dextre droite, libre de toute coupe de champagne, au comparse lupin de l'adolescent. « Joli garde du corps » ajoutes-tu avec une œillade en coin au Robin de Gotham. Malgré toi, tu lances un regard alentour. Pour remarquer qu'aucune connaissance venue des ombres de la résistance ne te saute aux yeux. Tu es flanqué du fils de l'ennemi, pourtant, tu ne peux que songer à sa venue avec cet imposant molosse aux babines poisseuses. « Il semblerait que votre sentinelle effarouche les demoiselles délicates et les poseurs de cette si élégante société » et le souffle est amusé, taquin, moqueur. La bête au poil sombre continue de renifler tes doigts, imposant sa salive à tes doigts. Tu a un petit rire, chatouillée par sa truffe, avant de te redresser non sans essayer, sans aucune élégance, ta main sur ta veste. Au diable les convenances - tu n'es pas un prince, ici.  « Vous risquez sans doute d'être très demandé, ce soir. Clients, businessmen et autres hautes figures de Gotham - tous voudront courtiser le fils prodigue. » Ton timbre est indéfini, sans réelle note de malice, pas tout à fait exempte de respect. « Je voulais seulement vous saluer - et vous remercier encore, pour notre ami commun. Yoda » confirmes-tu avec un sourire un peu plus affectueux. L'impression étrange de familiarité qui croissait en toi était due au sauvetage du riche adolescent à ton animal domestique - l'un de tes trois princes félins. Irréfléchies, tes lippes s'étirent encore un peu plus, franches dans leur reconnaissance sincère. Pourtant, tu sais qu'il n'aura guère de temps à t'accorder, les choses en sont ainsi. Ce n'est pas ton univers.

Ce soir ne sera peut-être pas l'origine d'une esclandre résistante, uniquement une fête où tu n'as guère ta place, intrus aux mirettes curieuses, à l'ennui trompé par les bulles d'or d'une flûte.

AVENGEDINCHAINS


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MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty14.04.22 14:21

Everybody thinks we are perfect
How is this my life again?

▼▲▼

“Comment j’en suis arrivé là, déjà?”

Que je me lamente, une énième fois, à Rose et Jay présent eux aussi dans la voiture à mes côtés. Le gala de charité annuel de Gotham, le genre de trucs où Dick, Jay, Cass, Damian (à mon grand regret) et moi-même avons été traînés au fil des années. Le genre d’évènement qui est loin de m’être inconnu, puisque faisant, initialement, partie d’une autre famille fortunée de Gotham. Les Drake, jusqu’à leur disparition il y a des années maintenant, étaient influents, pas autant que les Wayne, mais tout de même. Il aurait été si simple de venir en Timothy Jackson Drake, héritier de la fortune Drake. Si ce n’est pour un minuscule, rikiki, oubliable détail: que je suis parti comme un voleur du Manoir Wayne un soir, en laissant un adorable, mais destructeur, virus dans le Batcomputer. Et que je bosse sous les ordres du Joker, aussi, accessoirement. Détail.

Dans tous les cas, y aller sans le moindre déguisement serait du suicide. Pour moi du moins. J’ai bien conscience qu’un déguisement ne sera pas forcément efficace, on parle du Maire tout de même. Celui qui m’a appris à me battre (parmi d’autres certes), sous le toit de qui j’ai vécu pendant des années. Hormis Rose et Jay, il est probable que personne ne me connaisse aussi bien que lui. Ce qui nous amène à la situation actuelle. Quand on a vu ça, Jay et Rose ont tout de suite décidé d’y aller. Vu la lueur dans leurs yeux, il était clair que je devais y aller, au moins pour faire un peu de damage control. A moins de vouloir voir l’hôtel de ville sous les flammes à un moment donné. Sans compter que ça pourrait me permettre de récupérer des infos sur les invités. On ne sait jamais.

“Il va me falloir un déguisement par contre, parce que vous deux ça va, mais moi…Le souci est que le Maire connaît toutes mes ruses à ce niveau-là…”

J’étais en pleine réflexion sur le problème quand je sens des yeux sur moi. Je relève le visage pour voir Jay et Rose, surtout Rose, me regarder, un immense sourire sur les lèvres. Long story short, leur idée: me déguiser en femme. Autant dire que me convaincre n’a pas été la plus simple des batailles (“NON, je ne vais pas m’épiler for f*ucks sake, je vais faire comme toute femme qui a la flemme de sortir le rasoir, je vais mettre un collant noir opaque”...J’ai perdu la bataille là aussi…Disons-le carrément, j’ai perdu la guerre). Rose était chargée de ma “transformation” et je dois reconnaître qu’elle a fait un travail de maître. Entre le corset léger pour affiner ma taille, la robe d’un vert émeraude dont la dentelle affiche la peau de ma gorge et du haut de mon dos, tout en cachant sous le tissu opaque du même vert les subterfuges pour affirmer un peu plus cette féminité factice, le maquillage, la perruque blonde (ça ferait fort rire Steph ça d’ailleurs…). J’ai simplement complété avec des lentilles de couleur, marron, oubliable, mieux que le bleu de mes yeux. Dans le micro sac (sérieux c’est 0 pratique ce truc), le gizmo du jour déguisé en poudrier mais qui peut, si je reste assez longtemps à côté de quelqu’un, cloner les infos de ses appareils électroniques type téléphone, and co…Autant que tout ce bordel serve à quelque chose.

On arrive finalement, et je sors à la suite des deux autres, Rose et moi chacune à un bras de Jay. Je la sens pas du TOUT cette soirée, mais maintenant qu’on est là hein…Une fois à l’intérieur, mes yeux parcours la foule, cherchant des têtes connues. Plus loin je repère Althéa qui discute…Avec Damian? How the f*ck did that happen? Damian qui est avec…Titus. Oh merde, le chien. Je vais me faire repérer sans doute possible avec ce chien présent. Le désignant d’un regard à Rose, je quitte leurs côtés pour aller à l’opposé de la salle, attrapant un verre de champagne au passage. Pour le moment, mettre autant de distance que possible entre moi et le schtroumpf démon…


Spoiler:
CODAGE PAR AMATIS

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Bruce T. Wayne
🦇 they think i'm hiding in the shadows, but i am the shadows.

Bruce T. Wayne
doubles comptes : harleen f. quinzel. couleur rp : #bcbcd1. faceclaim, crédits : JDM -- (a) disastereyes. pseudo, pronom(s) : astera (elle/iel). batarangs récoltés : 1006 date d'inscription : 17/01/2022

TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  F1858f8cf6885f208d34301857f5b61864eebbc8

nom de code : (( THE BATMAN )) the shadow in the sky, the dark knight of a dark place ; the man who whispers to the bats.
âge du personnage : (( 51 )) years and years of suffering, hidden at the bottom of your heart.
occupation : (( GC MAYOR, WAYNE ENTERPRISES CEO, VIGILANTE )) pretty face by day, vengeance at night.
allégeance : (( SOMETHING WICKED )) obsessed with justice, no matter the cost of it.

liens utiles :
fiche de présentation
fiche de liens & rps
téléphone
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THERE'S SOMETHING
IN THE WAY

SUJETS EN COURS / RP 01 - RP 02 - RP 03 - RP 04

TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  0a5b

-- wars erupting like volcanoes,
blood streaming down the walls,
it's out of our hands, so baby let go.

TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Lp75

and war is all you ever seen,
your war behind the screen.


and all it means to me,
when you are numb, i'm forgiven.

when you've been gone,
lost in the lapse again.

MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty15.04.22 15:18


is it in your head ? are you on the edge ? are you gonna turn your back ? are you gonna run away, or stay awake ? if you lose it all, will it fall apart ? will you follow me into the dark ? ( music ) -- topic commun

Fut un temps où tu étais friand des mondanités, des champagnes hors de prix, des costumes confectionnés par les doigts de fée de grands couturiers en vogue, où tu arborais fièrement ton sourire charmeur, la trempe audacieuse, la malice incrustée à tes yeux, et la poigne ferme. Une époque qui résume tes jeunes années, noyé dans une insouciance fausse pour apaiser les maux de ton cœur meurtri, une époque qui se résumait à sorties nocturnes et aux regards désapprobateurs d’Alfred, aux ondulations de jeunes femmes qui tombaient sous le charme de ta richesse, aux coups dans le nez jusqu'à provoquer moultes amnésies. Et si cette apparence a su demeurer, sous le masque, tout n'était que factice, tissus de mensonges brodés pour laisser apercevoir ce que tu veux que le monde aperçoive de toi. Mais le masque a su tomber, révéler ta véritable nature, et tu es tombé avec lui ; encore plus bas, sûrement. Tu te complaisais dans l'idée que l'intensité de tes actions était justifiée, chauve-souris aux élans de justice, mais certains œils n'adhéraient plus à tes manières.

Mais le Gala de charité, cet événement particulier auquel tu assistais chaque année, notamment pour le prestige et pour entretenir l'image de ton nom de famille, s'annonce, et tu savais pertinnemment qu'il allait falloir rejouer les playboys millionaires pourris-gâtés. Un peu moins qu'il fut un temps, néanmoins. Puisque désormais, toute la ville savait que Bruce Wayne était Batman. Ou plutôt que Batman était Bruce Wayne. Deux personnalités complètement distinctes, au point de perdre son hôte ; lequel étais-tu, réellement ? Tu termines de boutonner tes manchettes, tu admires un dernier instant le reflet que le miroir de renvoie afin de t'assurer que ton apparence est impeccable, et tu prends enfin congé. Tu es arrivé deux heures plus tôt, bien avant tout le monde, puisque tu avais aidé à organiser le Gala en compagnie des autres représentants des familles fondatrices ; comme chaque année, encore. Tu étais une figure importante, et malgré la situation actuelle, tu maintenais tes engagements.
Et puis, tu es le Maire. Alors tu étais d'autant plus investi à tout ce qu'il se tramait en ville. Tu dévales les marches, enfin, pour te présenter à l'immense salle qui accueillait le monde qui arrivait en masse. Cassandra t'attend en bas.
Tu fais ton entrée, ta fille à ton bras.
Ce n'est qu'une question de temps avant que tu ne sentes quelques regards se braquer sur vous. Des visages, certains familiers, auxquels tu adresses quelques sourires polis. Tu t'arrêtes, de temps à autre, sur certaines personnes pour leur serrer la main, leur souhaiter la bienvenue à l'hôtel de ville, avant de reprendre ton chemin. Tu repères bien vite Damian, duquel tu te glisses dans son dos pour poser soudainement une main ferme sur ton épaule. « Où est Alfred ? » Si ta question murmurée s'adresse à ton fils, ton regard, lui, se braque sur la blondinette. Tu la scrutes un instant, songeur. Puis enfin, la main que tu avais posé sur l'épaule de Damian se retire pour se présenter à la jeune fille. « Bruce Wayne. Je vois que tu as déjà fait connaissance avec mon fils. »

Spoiler:

(c) mars.
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MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty15.04.22 22:56

« Tu sais que si tu veux y aller pour t’infiltrer, va falloir raser ton bouc ? » était la phrase qui avait mis fin au débat. Si Emiko savait quelque chose, c’était que le bouc était le point faible de son grand-frère, une chose qu’il ne toucherait pas, même pour s’infiltrer au gala de Bruce Wayne. Pourtant elle avait donné bien d’autres arguments en sa faveur pour cette mission. Peu de monde la connaissait réellement, elle savait se faire bien plus discrète que lui et avait été entraînée à ce genre d’infiltrations toute sa vie et, même si elle agissait avant tout pour la mission, cela l’amusait malgré tout de mettre ses talents en avant en allant se pavaner dans la tanière du loup. Un rouge à lèvre fin qu’elle ne mettait jamais, elle se maquilla légèrement mais avec précision, allongeant ses cils et se coiffant de façon à paraître bien moins guerrière. Elle se ressemblait à s’y méprendre à ces filles que l’on voyait dans les galas et c’était là ce qu’elle voulait après tout. S’habillant d’une robe beige composée de plusieurs couches de tissu léger et translucide lui donnant un air aérien, elle acheva son costume par des hauts talons au teint nacre, enlaçant ses chevilles dans des lanières de cuir argentées. Enfin, autour du cou, elle mit un ras de cou en nacre. La robe lui avait été offerte par Oliver et venait d’un grand couturier dont elle ne se rappelait déjà plus du nom. Le collier quant à lui était un cadeau de Dinah Lance et qu’elle ne portait que dans ce genre de situations, n’étant pas vraiment à l’aise au naturel avec un objet lui enserrant la nuque. Enfin, elle dissimula l’un de ses traits principaux, ses yeux bleus si peu communs pour une japonaise, avec des lentilles aux teintes sombres. Devant son grand-frère, elle fit un tour sur elle-même avant de lui dire d’un ton assuré.

« Tu vois ? Plus qu’à rentrer chez Monsieur un pour cent, maintenant. Avec un peu de chance je pourrai lui renverser une flûte de champagne dessus avant de m’excuser, qu’est-ce que tu en penses ? » Dit-elle en battant faussement des cils, sachant pertinemment que cette idée était mauvaise et dangereuse, mais si elle pouvait embêter l’archer vert une dernière fois avant de partir, elle n’allait pas s’en priver. Bien sûr qu’elle ne ferait pas de telles folies, griller sa couverture pourrait être gênant et transformer ce qui devait être une soirée amusante en véritable Battle royale. Reprenant des airs qui lui ressemblaient bien plus avec un léger sourire narquois, elle termina en disant. « T’en fais pas, espionner des hommes arrogants qui ont trop d’argent pour savoir quoi en faire, c’est le B.a.ba. Ils ne voient que les gens qu’ils connaissent et croisent tellement de visages que le mien aura disparu de son cerveau dans la minute où j’aurai échappé à son champ de vision. » Après tout, combien de fois en avait-elle croisé, des millionnaires et milliardaires avant qu’ils ne tombent d’une flèche entre les deux yeux ou après avoir ingurgité du poison versé sous leur nez dans leur verre de Bourbon. Cependant, Bruce Wayne était d’un autre acabit à ce niveau-là et elle en était parfaitement consciente, elle devrait être prudente, mais c’était quelque chose qui ne lui semblait pas insurmontable.

Arrivée devant l’hôtel de ville, elle monta les marches et laissa les portes derrière elle. Pour ce soir, elle serait Emi Lacroix. Ce nom lui arrachait maintenant la gorge autant que le caractère légèrement ingénue qu’elle allait jouer l’ennuyait. Pourtant, elle savait bien que c’était là le meilleur moyen de passer inaperçu, ne pas être suspecte, faire la docile l’énervait au plus haut point mais c’était sa mission. Ses armes étaient restés au quartier général mais il y avait bien assez de couverts et de plateaux pour qu’elle puisse éliminer de potentielles menaces avec au cas où. Savoir improviser en territoire hostile était une chose acquise pour elle d’aussi loin qu’elle puisse s’en souvenir. En tout cas, lorsqu’un serveur lui tendit le plateau sur lequel était entreposé les coupes de champagnes, elle se courba poliment en remerciant ce dernier avant de prendre la flûte entre ses doigts en glissant un léger sourire avant de se tourner vers les hors d’œuvre. Là, un serveur devait ramasser un plateau qui semblait couvert de… Bave ? Soit l’un des invités était un sacré dégueulasse, soit un chien avait pris le plateau pour sa gamelle. Il ne lui fallut pas longtemps pour voir le canidé aux côtés de son maître.

*Tiens, un fils de riche avec un caractère exécrable… Quelle surprise.* Se dit-elle avant de voir que ce dernier était à côté de son père, le maire de la ville et d’une jeune femme qu’elle avait déjà vu à la résistance. Cette dernière s’était mise dans de beaux draps si elle était déjà à côté du grand manitou pensa la jeune archère. Elle vit aussi d’autres visages connus de la résistance en compagnie d’une jeune femme qu’elle n’avait jamais vue. Enfin, il valait mieux ne pas aller les voir tout de suite, ce serait griller sa couverture bien trop rapidement. Jetant un nouveau regard sur la table, elle balaya du regard ce qui lui était proposé.

« Pourquoi y’a jamais d’Edamame dans ces soirées ? » Ne s’empêcha-t-elle cependant pas de pestiférer entre ses lèvres, trouvant les petits fours souvent bien trop bourratifs pour le peu d’éléments nutritifs qu’ils pouvaient apporter.

Spoiler:
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Jason P. Todd
little red riding hood

Jason P. Todd
doubles comptes : floyd lawton, richard grayson couleur rp : #9c231c faceclaim, crédits : richard harmon (a) twizzle (s) lomakes pseudo, pronom(s) : twizzle (she) batarangs récoltés : 353 date d'inscription : 15/03/2022

TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Fd3178f5158dfaa5817ad5132fc79d31b27b6726

nom de code : [RED HOOD]. Il eut autrefois survolé les toits de Gotham sous les couleurs de Robin, le second du nom, puis porté le casque de l'Arkham Knight.
âge du personnage : [26]. Quelques années perdues en cours de route cependant.
occupation : [OUTLAW] Divers mandats d'arrêt issus de différentes agences gouvernementales à son actif, il botte des fesses et travaille sous couverture dans les bas fonds d'un casino.
allégeance : [MY ASS]. Ses actions le rapprochent davantage de la résistance, dont font partie ses plus proches alliés, mais il suit son propre commandement.

liens utiles : FICHE LIENS/RPS PHONE MOODBOARD SPOTIFY PINTEREST

Well. Shit.

TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  86519c4fa6f8788085d22ca50e972d246f53c32e

(( my name is jason todd. or better known to the NSA, CIA, homeland security, FBI, KGB, mossad and interpol as the red hood. ))

Dog the emotional support american staff ◈ morning person ◈ ptsd ◈ compulsive smoker ◈ neat freak ◈ former robin ◈ former arkham knight ◈ former crime lord ◈ j scar ◈ white streak ◈ classic literature ◈ claustrophobic ◈ rich bitch ◈ roommate with replacement.

TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  01bbc992b04d8a769b1c8db6eefda543e84f7a1b

Keep your head high.
And your middle finger higher.


MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty17.04.22 0:45



Everybody thinks that we are perfect.

Gotham rats



We knew the world would not be the same. Some people laughed. A few people cried. Most people were silent. Robert Oppenheimer.


T’as foutu un virus dans l’ordi du vieux, Jason répond tout simplement à son frère au travers du rétroviseur de la superbe Maserati, sourcil levé, comme s’il expliquait une énième fois à un enfant de quatre ans pourquoi il ne faut pas boire l’encre de ses feutres – non sans afficher l’esquisse d’un sourire satisfait au coin de ses lèvres. T’en fais pas sista', Rose et moi on garde tes fesses. Et puis j’suis sûr qu’tu trouveras quand même quelqu’un pour t’trainer sur la piste de danse.
Son regard descend sur la silhouette assise dans le siège passager, le sourire narquois s’élargit un peu, avec quelque chose de plus doux. Quand bien même amusé. Eux non plus, ne laissent pas indifférents. Dans leurs tenues les plus chères et fringantes. Et ils ne se sont pas loupés : smoking de haute couture pour sa part, le nœud pap et bien entendu la fourrure sur le dos ; Rose toute aussi pimpante à ses côtés. Hell, il a même laissé sa copine lui dessiner un léger trait de crayon sous ses yeux déjà bien ténébreux, depuis le temps qu’elle en mourait d’envie. Leurs intentions sont claires, ils donnent le ton : ils ne sont pas là pour causer chiffons avec des gens friqués.

Jason gare le carrosse près de l’entrée principale de l’hôtel de ville, recoiffe grossièrement sa mèche blanche et contourne la voiture pour en ouvrir la portière passager ; puis offre une main à sa cavalière. Il réitère le procédé à l’arrière, un peu moins courtois cependant -- jauge Timothy devant lui de la tête aux pieds et hoche les épaules. Le subterfuge peut marcher, et bien tant qu’ils ne s’approchent pas trop des familiers tout du moins.
Un peu plus loin, l’entrée au gala semble bloquée aux véhicules par un objet assez anodin il faut avouer. Todd arque un sourcil, presque aussi interloqué que la petite foule qui se forme doucement au-devant : définitivement pas le style de Bruce. La batmobile reste pourtant abandonnée devant eux, comme pour narguer l’auditoire – ou une personne un peu plus spécifique ; et le revenant a bien sa petite idée de ce qui a pu arriver ici. L’envie d’en démonter les roues est bien présente, une manière agaçante et bien assez humiliante de clamer « Jay wuz here » un peu plus subtilement ; mais avec toute la presse et ces yeux braqués sur l’engin de guerre, c’est une bien mauvaise idée. Tout autant que de le gratifier d’un « bat sux » bien mérité sur le capot. Des bonnes plaisanteries se perdent. Wathever. Il passe son chemin de toute manière.
Leurs mains déjà enlacées, Jason conduit celle de Rose à son visage pour lui déposer un léger baiser à l'arrière, puis glisse ses doigts le long de ses épaules - pour terminer dans le bas de son dos. De l’autre côté, sa main repose délicatement sur les omoplates de Timothy, contact affectueux et déjà un peu trop intime à son goût pour deux frangins. Mais il faut soigner les apparences. Tous les trois se dirigent vers les grandes portes. Jason lève le menton. Fier comme un paon de se présenter ainsi au gala, une femme sous chaque bras, de quoi faire jaser tout autour.

Leurs noms, leurs visages ne sont pas connus. A Gotham, ils ne sont rien, ils ne sont personne. Et pourtant, s’ils savaient, que sous ces accoutrements, sous ces masques mondains se trouvent les enfants du maire, de Bruce Wayne, de Batman, ils seraient déjà tous à leurs pieds pour en chasser la poussière avec leurs langues de serpents. Parce que c’est tout ce dont il s’agit. Triste réalité de la société aristocrate. Il est familier avec l’environnement, il en a essuyés des galas de charité, dans sa prime jeunesse. Parfois Jason est soulagé de ne pas subir cette constante mise en lumière que d’avoir un jour porté le nom Wayne dans son patronyme, et la crainte de se voir affiché dans les tabloïds de la presse locale. D’autres fois, il regrette tout simplement de ne pouvoir évoquer publiquement cette fraternité nouvellement explorée, sans risquer de mettre en péril sa meilleure couverture. En ce qui concerne le reste du monde, Jason Todd est mort il y a dix ans et ne s’en est jamais remis. De quoi duper grand nombre de fanatiques de théories visant à découvrir les identités des membres de la batfam qui n’ont pas encore fait leur coming out.
Rose d’un autre côté, ne jouit pas de cet anonymat. Elle est Ravager, la fille de Deathstroke, mercenaire notoire et grand partisan du gouvernement des chauves-souris. C’est pourquoi de nombreux regards descendent au sol en croisant le sien. Par respect. Par soumission. Jason sourit fièrement, accentue l’étreinte au bas de ses reins.

Et pourtant, on les laisse passer, aussi simplement que ça. Parce qu’ils ont l’air d’avoir le cul bordé de pognon. Et c’est le cas. Mais personne n’est allé vérifier, non pas que le garçon ait spécialement envie d’une fouille à ce niveau-là. Pas même quand on leur prend leurs fourrures à l’entrée, pour les mettre plus à l’aise.
Jason balaye rapidement l’immense salle du regard. Il est soulagé que les festivités se passent à la mairie de Gotham, et non au manoir Wayne. Il n’est pas sûr d’avoir eu autant d’entrain autrement. La dernière fois qu’il a mis les pieds au domaine, c’est quand le maître des lieux les lui a aussi rapidement mis à la porte. Fort heureusement pour lui, il n’est pas connu comme un membre affilié à la Résistance, tout simplement parce que ce n’est pas le cas. Il n’a pas besoin de se travestir pour se montrer en public. Bruce et lui ont leurs divergences d’opinions, bien sûr - c’est d’ailleurs le fait d’exprimer son opposition aux idéaux du maire qui lui a fermé les portes de la batcave ; mais Jason ne se bat ni pour un camp, ni pour un quelconque leader. Uniquement ce qui lui semble juste. Il continue en attendant de botter les fesses des mauvais gars, affublé du même symbole qui voulait autrefois dire quelque chose. Et bien, même s'il est de notoriété publique, dans les coulisses de ceux qui dirigent la ville, qu'il héberge un résistant ou deux.

En parlant de Bruce, le voilà qui daigne finalement montrer le bout de son nez. Le jeune homme ne peut s’empêcher de serrer la mâchoire à la vue de Cassandra à son bras, après ce qu’il lui a fait subir. Un sentiment de colère qu’il réprime en avalant sa salive. Il ne peut cependant retenir ses pas de le guider dans sa direction lorsque son paternel adoptif atteint Damian et dépose une main sur son épaule. Timothy s'est déjà éclipsé quelques minutes plus tôt, retraite forcée par la présence du grand danois.
Arrivé au niveau du petit comité Todd salue poliment Althéa qu’il reconnaît - certes étonné, mais peu surpris. Il se redresse face au maire.
Bruce Wayne. En personne. Jason tend une main sûre à l’homme d’en face, pour voir s’il va se donner la peine de la serrer. Puis un mouvement de menton par-dessus son épaule en direction de l’entrée, il ajoute : Y’know, c’est pas très prudent d’laisser une batmobile comme ça dans la rue. On sait jamais, avec tout c’qui traîne là dehors… Petit clin d’œil aux bons souvenirs de leurs premiers jours, manière détournée et inconsciente de lui demander de ne pas l’oublier ; mais surtout de dénoncer ce qu’il pense être l’œuvre de Damian au cas où le fameux Chevalier Noir ait manqué l’arrivée majestueuse du petit grincheux.



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MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty17.04.22 5:34



Boulevard is freakin' as I'm comin' up fast
I'll be burnin' rubber, you'll be kissin' my ass
Pull up to the bumper, get out of the car
License plate says "Stunner number one Superstar"




C'était Noël.
Bouddiste, agnostique, whatever, rien a foutre, Rose était à une phalange de se convertir immédiatement et vénérer le petit Jésus maintenant que les deux hommes de sa vie s'était offert pour qu’elle puisse passer une semaine a jouer a la poupee geante avec eux.
Sur le siege passager a l’avant de la maseratti, la jeune femme est litteralement en train de jubiler en regardant les quelques dizaines de selfies qu’elle a prit avec son meilleur ami qui est en train de se lamenter a l’arriere de la voiture de luxe. Riant avec un sadisme non dissimulé quand son petit ami gratifie le pauvre Timmy du surnom de Sista.

“Hehehehe…” Ca devait bien faire la 6eme fois en 5 minutes qu’elle ricanait de cette façon. “Allez, je t’ai refait jusqu’aux sourcils.” Aaaaah il a été moins peureux que pour ses jambes, mais il a quand même gémit quand elle a sorti la pince. Ça avait été adorable. “Si avec ça tu es pas la plus belle de la soirée, je veux bien bouffer un rat. Allez, LOUISE, cheeeeeeeeeeeese!” Fit-elle en mettant son téléphone de façon à prendre un dernier selfie pour la route, bouche en coeur et v de la victoire avec sa main libre. Oui c'était puéril, mais Rose vivait sa meilleure vie.

Les flashs de caméra s'énervent et les attaquent, quand elle saisit la main de son cher et tendre pour sortir de la voiture dans sa magnifique et immense robe en froufrou carmin, faite pour attirer l’attention comme on attire les mouches avec du miel. Rose n’est pas ignorante de ce monde de paillette, il faut bien avoir un pied dedans quand on est la fille de Slade Wilson, lequel l’a trainé dans moult soirée pour qu’elle apprenne les mondanités, et qu’elle rencontre une cible avant de lui tirer une balle dans la nuque. Avec ses jolies robes de princesses sages et son cache-œil assorti à celui de son père. Un vrai duo sinistre et nés pour répandre des cadavres et bouffer des billets verts. Mais les petites robes mignonnes et la princesse sont au placard, Rose a sorti l’immense toilette de reine émancipée. Ce soir, réprimant un bref frisson quand son homme lui embrasse le dos de sa main, elle répond par un léger baiser sur la joue, pour jouer le jeu pour les caméras. Slade a profité de sa nouvelle notoriété pour la sortir du placard quant à son identité, et tout le beau monde met sa jolie bouille de borgne avec le masque de Ravager. Très bien: qu’ils regardent, elle n’a absolument rien à cacher. Si on oublie son meilleur ami sous une épaisse couche de maquillage. Détail.

Ses grosses bottes en talons vertigineux frappent le sol sur son passage, et son immense meringue aux couleurs royales dissimulent une paire de couteaux, au cas ou, Rose et son petit ami font une entrée remarquée, probablement au grand dam du pauvre Tim qui aurait prefere etre un peu plus discretE, dommage pour lui. Rose cherche d’un œil inquisiteur la potentielle présence de son deteste paternel. Peut-être éventuellement dans les boyaux du bâtiment pour protéger la divine présence de monsieur le Maire. Elle ne meurt pas d’envie de le voir, mais elle ne cracherait pas non plus sur la possibilité de lui faire serrer les dents en étant présenté en affichant le nom avec lequel il l’a maudite. Pendant longtemps cet homme l’a terrorisé, et a pris beaucoup de places dans sa tete, synonyme de pure haine de soi, d'anxiété, et d’addiction. Mais maintenant elle est libre, et il n’a plus aucun pouvoir sur elle. Et elle compte bien lui montrer.

Un sentiment que Timouise ne partage pas. A peine entre le voilà qui pointe… Elle ignore si c’est Damian, Althea, Bruce, ou même le chien, mais il a déjà disparu avec une coupe de champagne en espérant se faire oublier. Rah, il n'est vraiment pas drôle quand il veut.

“Ah, j’ai faillit oublié.." Fit Rose en regardant Titus gober les derniers  canapés. “FIFIIIIIILLE.” Chantonne Rose vers l'entrée, s’offrant un début de regard courroucé de la part des convives qui ne goûtent guère à ce genre de comportement. Leur regard se meut en horreur quand Dog surgit toute contente, sautant entre les stewards à l'entrée, pour se faire flatter par Jason et Rose. La belle AmStaff porte un collier en froufrou rouge, assortis à la robe de Rose, achevant de faire vivre à cette dernière une fantaisie ultime de pouvoir.

Dog suit gentiment ses maîtres quand Jason décide d’aller voir Bruce, parce que lui n’est pas un rabat joie comme Timbo. La chienne regarde Titus avec un certain intérêt quand Rose sent que Jason se tend légèrement, elle pose une main sur son épaule pour lui donner un certain courage, et aussi parce que ça donne plus d'aplomb aux hommes quand ils ont une poule pendue à leur cou. Sauf que cette poule a des dents, et elles rayent le plancher.

“Messieurs et mademoiselle Wayne.” Salue-t-elle, grattant de sa main libre le crâne de sa chienne. Elle adresse un sourire polie à la jeune blondinette. Dans d’autres circonstances, elle lui aurait probablement sauté dessus comme l’amie qu’elle est, mais c'était également un geste pour la protéger : Elle n'aurait pas été reçue avec la même politesse si les Wayne apprenaient que cette petite fréquente la Ravagee de service. “Cela fait si longtemps! Un vrai plaisir de vous croiser, vos sourires m’ont tellement manqué." En effet, Rose a déjà vu des portes de prisons plus affables que les trois Wayne qui lui font face. En particulier son petit préféré des trois, le petit oiseau renfrogné dont elle meurt d’envie de pincer les joues, comme une vieille dame insupportable.
“Ooooh Damian, tu as tellement grandi depuis la dernière fois que je t’ai vu ! Un vrai petit homme dans son beau costume! Adorable.” Un regard ne peut pas tuer, et Rose en profite.

“J’aime beaucoup ce que vous avez fait de la mairie, de toute la ville vraiment, Monsieur le Maire. C’est si chaleureux, et calme on oublierait presque qu’on est à Gotham!" La criminalité descend vite quand un pauvre skateboarder peut se prendre une rouste par Bane pour rouler du mauvais côté.

resume de belle gosse:

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Barbara L. Gordon
the princess saves herself in this one.

Barbara L. Gordon
faceclaim, crédits : emma stone,cheekeyfire. pseudo, pronom(s) : TICKETS TO MY DOWNFALL., elle. batarangs récoltés : 54 date d'inscription : 17/01/2022

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nom de code : (( batgirl ))
âge du personnage : (( twenty eight ))
occupation : (( librarian ))
allégeance : (( batman ))

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-- (( BATGIRL ))
she's an undiscorved element, either born in hell or heavensent. she's not acid, nor alkaline. caught between black and white. not quite either day or night. she's perfectly misaligned.
TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  29797520c7e99aba76215d618197c6ccTOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Dfd5ce2766cfac3f37e58b2b0ff9a2a0TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  E8bafbce86004eb52be52be74080a129

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TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  6kx1

THE VICIOUS CYCLE WAS OVER
the moment you smiled at me.

is it the way that you talk that's causing me to freak? is it the way that you laugh that's making my heartbeat ? if it the way that you kiss ? it's gonna be the way you taste. is it the way that you feel against my body ? is it the way that you act so damn naughty ? you're such a gorgeous nightmare, hold habits never seem to go away. you make me feel brand new, we're resurrect it's like i've come back to life.


MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty18.04.22 18:01


this is hell, ashes of a fantasy. we were chasing down a dream but now i'm waving a white flag. so will you let it rest in peace ? let it be, just a fading melody in your head. cause i am waving a white flag.( music ) -- topic commun

Un énième soupire s'échappe d'entre tes lèvres, faisant alors voler une de tes précieuses mèches de cheveux. En vue de ton air dépité, il était évident qu'être présente ce soir était loin d'être une partie de plaisir, peut-être car tu avais autre chose à faire que de vagabonder dans les allées d'une salle de gala entourée du gratin de gotham à jouer les hypocrites. S'il n'en tenait qu'à toi, probablement que tu serais restée chez toi, à juste patrouiller dans les rues d'la ville histoire de t'assurer que tout était plus ou moins serein – et t'occuper toi même des potentiels malfaiteurs en leur faisant comprendre qu'ils avaient d'la chance de tomber sur toi. Mais voilà. Tu étais venue. Pourquoi ? Probablement car tu t'étais sentie obligée de faire acte de présence – mais surtout car tu connaissais les tempérament chaotiques et que c'était ton devoir d'essayer de limiter les dégâts au maximum. Alors tu ferais acte de présence et tu garderais un oeil sur toute cette pseudo famille plus que dysfonctionnelle.

Ton taxi se stoppe devant les lieux de la réception. Tu t'extirpes de celui-ci dans cette robe de gala achetée rapidement plus tôt dans la journée. Tu observes les lieux de tes prunelles claires et de toute évidence, tu te dis que c'est le moment de faire demi-tours, mais bien vite, tu prends sur toi. Une grande inspiration et te voilà, dos bien droit, poitrine bombée, tête haute et ces pseudos sourires qui sonnent des plus faux. Si ton père t'avait déjà trainé dans un ou deux évènements de ce style ça ne t'avait jamais autant forgé que fréquenter Richard Grayson. Il était celui t'ayant enseigné l'art des gala de charités lors que votre relation avait commencé à prendre une tournure bien plus sérieuse. Tu grimpes les quelques marches, n'ayant même pas besoin de donner ton nom pour entrer : après tout, tout le monde te connaissait. Barbara Gordon, fille du commissaire qui avait subi un nombre incalculable de traumatisme à cause de celui qui aujourd'hui tenait ouvertement tête au maire de la ville. Comme quoi, les temps changeaient mais d'autre ne changeraient jamais.

Pénétrant enfin dans la salle bondé, ta présence se fait presque immédiatement remarqué. Et le jeu commence. Les pseudos prises de nouvelles, les gens qui disent à quel point tu as l'air rayonnante, à quel point l'opération semblait avoir bien fonctionnée pour te permettre de tenir sur tes deux jambes depuis tout ce temps. Le même genre de question par le même genre de personne, chose qui t'insupportait au plus haut point. A une époque, tu te serais prise au jeu. Tes premiers galas, tu étais vraiment dévouée, tu t'intéressais à tout le monde et encore une fois, Grayson t'avait expliqué les vices de ce milieu. T'avais été assez stupide pour croire qu'on s'intéressait à toi et si ces faux semblant t'importaient peu, l'hypocrisie dont tu avais été victime suite à l'agression de Napier t'avait rendue folle. Le monde s'inquiétait pour toi, te regardait différemment. On se comportait avec toi de manière différente, on tentait de compatir, mais à tes yeux ça ressemblait plus à de la pitier. Pauvre gamine, qu'ils disaient. Encore une victime de Gotham. Elle était pourtant si prometteuse. Et l'exposition constante dont tu avais fait preuve pendant un temps n'avait pas aidé dans ta reconstruction. Pourtant, aujourd'hui c'était une étape de ton existence qui faisait parti de toi, et si pendant longtemps tu avais longtemps cherché à camoufler cette cicatrice et les preuves de cette époque, aujourd'hui tu les abordais fièrement. Après tout, ça faisait parti de toi et si ton vécue pouvait en inspirer plus d'un, alors autant en profité pour répendre des choses positives dans une ville qui semblait être un véritable trou noir, aspirant la lumière des meilleurs d'entre vous.

Saisissant une coupe de champagne, tu observais autour de toi avant de remarquer un rapide atroupement. Toute la famille était là, ou presque, tu songeais. Tant mieux dans l'fond, t'étais déjà assez dégoûté d'être présente, inutile de te rajouter une énième source de conflit intérieur sinon tu finirais très rapidement sous xanax. Pourtant, en voyant la tenue de Jason et de la demoiselle à son bras, tu te demandes vraiment si ça devrait pas arrivé plus tôt que prévu. – C'est pas un putain de cirque. Tu murmures pour toi même avant d'avancer d'un pas rapide, bien décidé à aller tester la température, à tenter de t'assurer que tout ce qui se dit reste cordial et que personne ne s'apprête à taper sur personne – avec eux, on sait jamais. Tes talons raisonnent sur le sol d'un pas assurée tandis que tu gardes ce petit sourire qui veux bien montrer que si tu pouvais être n'importe où ailleurs, tu le serais. – Vous savez qu'à force de faire des réunions de famille sans m'invité, je vais finir par le prendre personnellement. Tu laches d'une manière légère et souriante, comme tu savais si bien le faire – pourtant, tu ressens presque immédiatement la tension présente. et autant dire qu'il faudrait vraiment être aveugle pour ne rien remarquer. – Mais vu que Richard et Tim manquent à l'appel, je suppose que c'est pas personnel. Autant dire que tu n'avais juste pas vu Tim et que même si tu le voyais, tu ne le reconnaîtrais sans doute pas aux premiers abords. Tu remarques alors une petite blonde aux côtés de Damian dont tu ne connais absolument pas l'identité. Tu tends alors ta main, histoire de te présenter officiellement. – Barbara Gordon, enchantée. En soit, tu n'avais pas besoin d'en dire plus, ton nom étant déjà bien connue au sein de la ville. Tu observes alors toute la petite foule, sans vraiment savoir de quoi ça parlait avant ton arrivée si soudaine. – Je viens seulement d'arriver, qu'est ce que j'ai loupé ? Et évidemment, ton regard s'attarde enfin sur Bruce. Si tu restes souriante, le regard que tu lui lances est plein de sous-entendu, principalement car voir Cassandra à son bras t'insupporte. Mais ce n'est ni le moment, ni l'endroit pour régler les comptes – surtout que physiquement tu ne fait pas le poids. Cependant, tu t'en fou de cracher une ou deux chicots, tant que tu fait entendre ton point de vue. Mais il s'aventure de plus en plus profondément, et toi, ça t'rend dingue Barbara. Comment un homme que tu as pu autant admirer prends un tournant aussi nefaste ? Au fond, il vaux pas mieux qu'les criminels. Il vaux pas mieux qu'Gotham.

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(c) mars.
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MessageSujet: Re: TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.    TOPIC COMMUN : everybody thinks that we are perfect.  Empty18.04.22 19:11



Everybody thinks that we are perfect.


Harper se regarde une derrière fois dans le miroir en soupirant… Le reflet qui se présente à elle ne lui convient toujours pas, ça n’est pas elle. Depuis qu’elle est entrée dans ce simulacre de famille, la Bat-Family, elle doit régulièrement se présenter à des événements de la Haute. La jeune fille des Narrows rigolerait sans doute bien en la voyant aujourd’hui, affublée d’une tenue qui jurait avec son caractère, sa façon de parler, de se déplacer… Avec l’essence même de ce qu’elle était en réalité. Elle baisse sa main et récupère une cigarette sur sa table basse, avant de passer par la poche de son bas, dont elle extirpe une cigarette en se posant contre le rebord de sa fenêtre. De son petit appartement, elle entend déjà l’excitation et observe les lumières de l’événement qui l’attend, ce gala à la mairie, qui semble déjà bien se lancer. Elle s’interroge sur les personnages qui en feront partie, et combien parmi celles-ci font en réalité partie de la Résistance, se doutant qu’il y aura forcément des espions qui viendront essayer de récolter quelques petites informations par-ci par-là ou bien tenter de mettre un peu de chaos dans tout cela. Et puis, elle décide d’aller se faire foutre les conventions, d’aller au plus simple et agréable, et, en ce sens, ouvre à nouveau sa garde-robe, avec un sourire amusée.

Une petite heure plus tard, un scooter qui ne paie pas de mine se gare devant le parvis de cette mairie bien animée. Harper aurait sans doute pu acquérir quelque chose de plus agréable si elle l’avait demandée à Bruce, mais elle préférait garder les pieds sur terre, ou du moins pensait-elle le faire. Son casque rejoignit le coffre du véhicule, alors qu’elle jetait un premier coup d’œil à ce qu’il se passait à ce gala. Quelques regards se glissaient sur elle, s’interrogeant sur l’identité de cette drôle de silhouette venue se mêler à la richesse de Gotham. La jeune femme n’est pas encore tout à fait connue, et espérant qu’elle ne serait pas sous le feu des projecteurs avant longtemps. Son regard se stoppe sur un petit attroupement, une bande de joyeux lurons que voilà. Le fils et le père Wayne, le chien du dernier, et quelques autres personnes. Harper ne met pas beaucoup de temps à observer la présence de Cassandra, certainement son amie la plus proche dans ces sombres temps, au bras de son paternel. Elle se demande si celle-ci va mieux, sachant qu’elle se renferme sur elle depuis que son père l’a forcé à tuer des gens. Hum, belle idée, pense-t-elle sarcastiquement.

Et puis elle se décide à pénétrer dans cette jolie pièce de théâtre, sans avoir appris aucun texte au préalable, préférant encore et toujours l’improvisation. Ses pas la menèrent naturellement jusqu’au petit groupe, s’’imaginant bien les questionnements que cela pouvait créer chez les personnages l’observant. Qu’est-ce que cette punk pouvait bien avoir en commun avec les Wayne et leurs interlocuteurs ? Qu’ils aillent se faire foutre, eux aussi. Son regard, attentionnée, se glissa alors en premier sur son amie à la chevelure brune, dans un air empli du plaisir d’enfin la croiser. Elle lui aurait bien demandée si elle ne se faisait pas trop chier, mais doutait que cela soit bien venue dans le contexte. Puis, elle s’attarde sur Bruce, le modèle qui s’est offert à elle il y a des années, ne voyant pas encore tout le mal que l’homme fait en réalité à sa ville. Cependant, elle ne peut s'empêcher de se poser des questions face à son amie souffrant tant à cause de son père adoptif.

« - Bonjour, monsieur Wayne. Belle soirée dis-donc. »

Hop-là, les journalistes ne pourraient pas savoir qu’elle fait partie de la Bat-Fam, ou pas sur leur discussion en tout cas, elle resterait tranquille pour l’instant. Elle salue ensuite les quelques personnes autour d’elle, en majorité membre de la même famille, Barbara, Jason, le plus chaleureux pour la fin, Damian, et puis les deux exceptions, deux têtes blondes et une blonde platine pour la précision, que la jeune femme n’avait jamais rencontrés précédemment. Elle reprend la formule usée par la dernière arrivée avant elle :

« - Enchantée, Harper Row pour vous servir, en tout cas quand je suis disponible. C’est rare. »


S’annonce-t-elle alors, dans son habituelle représentation sarcastique, mais plutôt véridique. Elle était bien souvent occupée, que ça soit derrière des écrans pour améliorer l’équipement cybernétique du gouvernement, ou bien encore dans les rues, une bonne musique dans les oreilles avant de s’en prendre aux délinquants.


AVENGEDINCHAINS


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