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| just pretend. (ft. harleen) | |
| Auteur | Message |
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the princess saves herself in this one.
faceclaim, crédits : emma stone,cheekeyfire. pseudo, pronom(s) : TICKETS TO MY DOWNFALL., elle. batarangs récoltés : 54 date d'inscription : 17/01/2022
nom de code : (( batgirl )) âge du personnage : (( twenty eight )) occupation : (( librarian )) allégeance : (( batman ))
-- (( BATGIRL )) she's an undiscorved element, either born in hell or heavensent. she's not acid, nor alkaline. caught between black and white. not quite either day or night. she's perfectly misaligned.
THE VICIOUS CYCLE WAS OVER
the moment you smiled at me.
is it the way that you talk that's causing me to freak? is it the way that you laugh that's making my heartbeat ? if it the way that you kiss ? it's gonna be the way you taste. is it the way that you feel against my body ? is it the way that you act so damn naughty ? you're such a gorgeous nightmare, hold habits never seem to go away. you make me feel brand new, we're resurrect it's like i've come back to life.
| Sujet: just pretend. (ft. harleen) 12.10.22 9:32 | |
| all our lives in a bubble, losing sight of reality. we paint the lie in pretty colors and blur the lines of what's in between. the stolen unknown it followed us home. (music) -- ft. @harleen f. quinzel.
Tu avais sincèrement pensé que disparaître t'aiderait. Ne plus penser à toute cette situation et tout les enjeux qu'il y avait autour. Ne plus avoir besoin de réfléchir, anticiper, penser. Tu l'avais fait principalement pour prendre soin de toi, de ta propre santé mentale mais revenir avait été si compliqué que dans l'fond, ça empirait peut-être le problème. C'était difficile à dire, expliquer. Tout ce que tu savais, c'est que dans l'immédiat, tu refaisais peu à peu surface mais à reculons. Et c'était horrible. Tu n'avais pas encore revu tout le monde. Peut-être car tu ne voulais simplement pas faire face à Bruce sauf si la situation l'obligeait. Mais tu devrais, un jour ou l'autre, reprendre ta place au sein des chauves-souris de Gotham. Revenir, comme une fleur, comme si rien n'était arrivé et offrir au monde tes beaux petits sourires. De toute éternelle bonne humeur. Fake it till you make it comme tu te répètes chaque matins en regardant ton reflet dans le miroir. Tu pensais que partir aurait aidé mais tu as encore ces cernes visibles, creusent sur ton visage, tes traits tirés. Juste ton teint, a retrouvé cette coloration rosée. Tu devais préparer l'échéance, ou plutôt te préparer mentalement pour le moment où tu serais en face de celui qui autrefois, représentait tout les espoirs de cette ville. Ce héro capé que tu avais tant admiré qui était devenu le monstre vivant de Gotham. Ainsi, tu étais là. Assise sur le rebord de cet immeuble, les jambes pendant dans le vide. Visage découvert, malgré la cape qui recouvrait tes épaules et à tes côtés se trouvait un sac en papier pleins de diverses choses. Milkshake en main, tu sirotais celui-ci en observant la ville, morte sous tes pieds. A l'époque Gotham vivait, de nuit. Mais aujourd'hui, il n'en n'était plus rien. Tu pensais pas à ça, quand tu disais que tu voulais devenir flic à l'époque. Un autre soupire s'échappe d'entre tes lèvres tandis que tu sens quelque chose venir mourir sur ton cuir chevelu. Tu redresses la tête et remarques qu'il commence à pleuvoir, un peu comme pour corroborer avec ton état d'âme actuel. Pourtant, c'est Gotham. Un peu de pluie ne te fera pas de mal, encore moins quand à partir de cette période de l'année c'est de plus en plus courant. Tu continues d'attendre, jusqu'à ce que la surprise n'en soit pas une. Tu la sens, dans ton dos malgré sa discrétion. A une époque, tu te serais retourné, l'aurait traqué pour foutre son cul à Arkham, mais plus maintenant. Mais là rien. Parce que premièrement c'est elle que tu attendais, et parce que tu te doutais que même si tu ne te retournais elle savait que tu avais sentie sa présence. Sans quitter l'horizon des yeux, tu la laisses s'installer à côté de toi dans un silence des plus plombant. Seul le bruit de l'aspiration de cette pseudo crème glacée se fait entendre. Tu restes comme ça pendant quelques secondes Barbara avant d'enfin lever les yeux vers elle et de pousser le sac en papier en sa direction. – Je t'ai pris un milkshake. Tu dis enfin en l'observant de tes prunelles émeraudes, ta boisson froide toujours dans tes mains. Tu baisses de nouveau les yeux, regardant tes bottes jaunes faire contraste dans cet environnement nocturne et tu hausses les épaules. – J'suis contente de te voir. Tu avoues, d'une petite voix qui démontre une réticence quant à ta présence ici. Tu pensais pas et pourtant c'était véridique. Voir le visage doux d'Harleen avait quelque chose de réconfortant dans l'immédiat. (c) mars. |
| | ◆◇ i'm known to be quite vexing. i'm just forewarning you.
doubles comptes : bruce t. wayne, roman sionis. couleur rp : #990000. faceclaim, crédits : lucy boynton -- (a) lusavor. pseudo, pronom(s) : astera (elle/iel). batarangs récoltés : 233 date d'inscription : 26/07/2022
nom de code : (( HARLEY QUINN )) the harlequin, in your red and black costume, the partner and princess of crime. âge du personnage : (( 34 )) a treacherous existence, abused by events that got the better of you. occupation : (( INSANELY CRIMINAL )) if there was a time when observation was your best asset and where your diploma was essential, crime took you to the depths of this dark city. allégeance : (( REBEL YELL )) you have always been and will always remain faithful to the joker. you may leave, live bits of life without his presence ; you always come back to him.
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-- and you're lookin' crazy
and you're lookin' wrong,
it looks like we're gonna get along.
and once i've got you, it's a fact,
baby, there's no turning back.
| Sujet: Re: just pretend. (ft. harleen) 17.11.22 10:58 | |
| i love the voices in my head, you think I'm running off the edge. you wanna fix me, but maybe i like me broken. ( music ) -- @barbara l. gordon Tu la vois, au loin. Sa silhouette avachie, tu devines aisément ses pieds flotter dans les airs. Tu avances à pas de loup, connue pour ta discrétion et ton imprévisibilité. Si Harleen a pris le dessus sur Harley, tu n'as pas su te débarrasser de tous ses réflexes. Elle sommeille encore quelque part au fond de toi, elle est encore présente. Tu sens son oppression sur tes épaules chaque jour, elle te joue des tours, tente désespérément de reprendre l'entier contrôle du corps que vous partagez. Tu as maintes et maintes fois essayé de vous faire fusionner pour ne devenir qu'une seule et même personne, partagée entre les traits de l'Arlequin et de la psychiatre, mais la coquine ne se laissait pas faire, préférait te tourmenter. Ses rires incessants résonnaient au fond de ton esprit, des rires d'une époque révolue, d'une époque qui rimait avec clown et crime. L'arlequin dans toute sa splendeur, princesse et reine à la fois, redoutable ennemie, redoutable criminelle, rongée par ses propres syndromes. Mais toi, Harleen, pour la première fois dans votre misérable vie, tu arrivais à garder le cap, à rester toi-même, à reprendre le dessus sur le parasite qui avait bousillé ton existence. Les murs s'ornent encore des pensées les plus sordides de Quinn ; « I miss him... » mais tu détournes bien vite les yeux, tirée de tes vils songes par la voix de la rouquine qui s'élève, frappée par les courants d'air. T'as un sourire en coin impulsif, ça fait bien deux minutes que t'es là, et Barbara était déjà au courant de ta présence durant tout ce temps. Tu n'en attendais pas moins d'elle. Redoutable adversaire mais encore meilleure alliée, vous avez su tisser des liens particuliers mais surtout indestructibles au fil des années. Tu t'arrêtes à sa hauteur et tu te baisses, paume de ta main contre le gravier pour venir poser tes fesses sur le rebord du toit, à ses côtés. Elle te semble un peu morose, un peu macabre ; Harley likes it, mais tu balayes d'une pensée brève les ressentis de l'arlequin qui sommeille en toi. Tu penses si bien avoir le contrôle, mais si les doux traits d'Harleen osent un sourire dépourvu de toute la folie d'Harley, lorsque tu prends la parole, ta voix se déforme d'une manière que tu ne lui reconnais pas – si, que tu lui reconnais, puisque le ton enfantin de l'arlequin se prononce. « Awe, ain't it sweet. » C'est comme assister à un accident de voiture, impuissant. Tu sais que c'est en train d'arriver, mais tu es figée, intérieurement. Tu n'arrives pas à reprendre le dessus sur cet aspect de ta personnalité, sur ce ton gamin et les mots écorchés propres à Harley Quinn. Tes mots continuent de sortir, des mots qui t'appartiennent, prononcés d'une voix qui, elle, ne t'appartient pas. « Missed you too, sweetcheeks ! I thought I'll never see ya again. » Barbara est partie, longtemps. Des mois sans voir sa trogne parsemée de tâches de rousseur. Partie sans même un au revoir. Tu t'es pas sentie vexée, à dire vrai ; mais avec tout ce qu'il se tramait du côté du Maire, tu n'avais pas pu retenir ton inquiétude. Une inquiétude qui a su perdurer au fur et à mesure de ces mois d'absence et de silence. Jusqu'à ce que, enfin, tu n'apprennes de la bouche d'un autre son retour, et qu'elle te contacte enfin. Tu attrapes la paille entre tes dents, remarques très vite que tu changes un peu d'attitude. Harleen, si droite et stricte. Ta tête se balance un peu de gauche à droite au fur et à mesure que tu aspires le liquide glacé du milkshake qu'elle t'a offert tantôt, et si tu portais encore les couettes emblématiques de ton alter-égo, Dieu sait qu'elles auraient tremblé dans tous les sens. Mais encore une fois, tu ne parviens pas à contrôler les réflexes de l'arlequin qui sommeille en toi, tu laisses passer, tu te concentres sur les choses sur lesquelles tu as encore réellement un impact, dont ton propre esprit, tes propres ressentis, tes pensées, tes agissements, et tu lui lances un nouveau regard en coin cette fois-ci, arrêtant d'aspirer pour te permettre de respirer et de placer quelques mots. Un regard toujours dénué de l'excentrisme d'Harley, un regard authentique et propre à Harleen ; doux, soucieux. « Sooooo, how've you been ? » (c) mars. |
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