fight like a boy ▬ oz

oscar mcnee
NOM COMPLET : Oscar Lysandre Orlando McNee. Uniques étiquettes qu’il porte, héritage de sa famille autrefois noble, à présent rangée dans la normalité vétuste du blason souillé, patronymes d'aïeuls braves et téméraires. SURNOM(S) : Oz, Ossi, Scar, Lys, Lyschou, Petiot, le Bleu, Gringalet, tout un tas de sobriquets qu’il accepte plus ou moins bien selon qui les prononce. NOM DE CODE : aucun nom de code, hormis si vous parlez d'ASCII ou autre joyeusetés informatiques, car sur la toile, le jeune homme se fait appeller JORMUNG4NDR. PRONOM(S) : Il, masculin. GE ACTUEL : Oz vient de fêter ses 18 ans, majorité qui fait pousser les ailes, responsabilités qui font tourner la tête, ce ne sont finalement que des nombres, des chiffres qui importent peu. LIEU DE NAISSANCE : Minuscule village d'une Ecosse primitive, tu es Ecossaise au sang dilué Anglais, terres vertes et landes lutines où les folklores divers s'ancrent dans les mythologies boisées. OCCUPATION : jeune recrue au GCPD, il est donc élève officier qui ne désire que s'élancer sur le terrain aux côtés de ses pairs et prouver sa bravoure aux yeux de ceux qu’il estime être les véritables justiciers. Il refuse cependant de rejoindre la milice de Gotham, et les actes de cruauté, l'escalade sanglante lui offrent l'étendue d'une folie entre les mains d'un puissant. Apeuré, il reste cependant sous l'égide d'une justice qui, à ses yeux, a perdu toute réalité. GÉNOME : Humain, il est naïvement ignorant de ce que peut révéler la nature mortelle des hommes, incapable d'imaginer ce qui peut se camoufler dans les obscurités moites de Gotham. LIGNE DE COEUR : célibataire, ceci n'est pas une facette qu’il est impatiente de creuser, non pas qu’il soit timide ou farouche, mais Oz a plus soif de justice et de chocolat chaud que de baisers volés. Pourtant, s’il devait se définir, il dirait qu’il n’aime pas les étiquettes et qu’il apprécie l’âme ou l’esprit avant le genre ou l’apparence. ALLÉGEANCE/GROUPE : Il a rejoint la Résistance et joue les taupes, agent double aux flancs tiraillés de cette angoisse sourde, doigts de fée mécanique et informations murmurées sous le secret. Il déteste ce double jeu mais il n'a pas le choix, lui qui rêvait de justice ne voit qu'un ersatz de cette dernière, une mascarade sanglante. FACECLAIM UTILISÉ : noah schnapp.

CARACTERE têtu. volontaire. positif. bavard. impatient. impulsif. loyal. fidèle. rêveur. amusant. vif. intelligent. syndrôme de l'imposteur. obsessionnel. organisé. maniaque. méticuleux. s'adapte très vite. logique. sentimental. légèrement arrogant. poli mais parfois insolent. taquin, voire provocant. veut prouver au monde entier ce qu’il vaut. problèmes de confiance en soi qu'il camoufle sous des devants exhubérants. secrèt quand les choses deviennent profondes. esprit d'équipe. aime les animaux (est l'esclave de trois chatons, véritables diablotins aguicheurs et calculateurs). curieux. maladroit. parfois grossier (les jurons ont leur vie propre, selon lui). un peu de mauvaise foi. naïf. aime les routines, les choses carrées et les limites, qui l'empêchent de paniquer ou d'angoisser. trop gentil, ayant envie de croire en l'âme humaine, l'empathie et la bonté. CAPACITÉS, POUVOIRS x il en est encore à ses débuts, le corps empli d'une jeunesse énergique, d'une volonté de fer, de la peur des proies qui courent pour leur vie. combats au corps à corps, tirs et pistage sont autant de capacités physiques qu’il use au GCPD, tandis que ses facultés intellectuelles sont approfondies. x hackeur de talent, lien profond avec la technologie. x il fait des gâteaux au chocolat à tomber - ceci est un pouvoir, si vous n'êtes pas d'accord, c'est que vous n'avez pas encore goûté. x si vous lui laissez assez de temps, il pourra élaborer des stratégies innovantes ou étranges, qui se meuvent dans son esprit un rien bizarre, sa propre logique dira t-il. x positif, son plus grand pouvoir c'est cette espèce d'aura douce et gentille, cette impression de le connaître depuis longtemps car il sait vous mettre à l'aise de ses sourires amicaux et sincères.

pseudo/prénom

PRONOM(S) : elle.  DATE D'ANNIVERSAIRE : 5 mai, paraît que c'est la fête des enfants au japon, youpi, elle est où ma glace    DÉCOUVERTE DU FORUM : PRD. POTENTIELLE(S) SUGGESTION(S) : pas pour le moment. TON AVIS SUR LE FORUM : déjà, c'est beau, c'est propre, c'est doux - enfin, non mais vous voyez - vous avez l'air incroyables, j'suis joie et bonheur d'être tombée ici.     CRÉDITS : uc.

histoire du personnage


(I) changement.

Famille vivotant à Gotham, deux parents et des petits jobs, des vêtements achetés au rabais, des frères dont Oz se faisait parent de substitution. Pourtant, malgré le manque de moyens, le bonheur règne. Venus d'Europe lorsque la matriarche était enceinte d’Oscar, ils sont venus chercher l'espoir, l'avenir, la réussite. Les échecs cuisants détruisent peu à peu le tissu familial, divorce qui dissout les alliances, alors que monte peu à peu l'atmosphère sombre, alors que les crimes et les justiciers s'affrontent comme des dieux, alors que la normalité prend des frontières étranges. Brouillard tentaculaire de visions changeantes, les McNee ne savent plus sur quel pied danser, jusqu'à la chute. Le sang appelle le sang, la violence appelle la violence, l'escalade n'en est que plus brutale. La démence se fait avatar de chair, quand l'homme bon se mue en chimère obscure.

(II) résistance.

Fil du rasoir, chaque pas est une douleur quand l'espoir s'abîme dans l'abysse profond. Les croyances d'hier se font tyranies de demain. Lui qui n'avait toujours désiré qu'animer la justice, Oscar se retrouve à naviguer dans des eaux prédatrices. Nulle équité en la primale fureur qui se camoufle sous le masque de la loi. Frissons qui courbent l'échine mâle. Peur au ventre, angoisse amère, alors que les rêves en bris de verre heurtent la carne juvénile. L'hésitation n'est pas longue, jusqu'à ce qu’il se décide. Il n'y avait, en réalité, nul choix. L'évidence dans cet esprit flamboyant. Il suit la voie qu'on trace pour lui. Agent double, il susurre les informations, les doigts s'agitent, le courage s'avive sous le nom de Résistance. Quelle ironie - sous le drapeau de Napier, le passé n'a plus rien de tangible, ne reste que le présent, vif et douloureux, héritier d'antiques dilemmes.

(III) comment gagner la guerre en cuisinant, volume 1 (ou la cuisine pour les gouverner tous.)

Naïf guerrier, les poings qui heurtent avec fracas, les doigts qui s'agitent sur les fourneaux. Maints moyens de continuer le combat, et calculateur, il rampe dans les gosiers sous l'appel du ventre. Il s'occupe des affamés, en secret, dans les rues de Gotham, il glisse pâtisseries douces aux collègues bavards, aux indicateurs involontaires. Il rêve d'une fin hors de ce caveau sanglant, Oscar, onirique voeu enfantin. Calculateur sorcier pâtissier, il se fond dans les petits papiers, creuse les myocardes de sa gentillesse - autrefois naturelle, à présent sournoise, honteuse. Il s'en veut, pour ça, Oz, pour ces secrets qu’il planque, pour ces choses qu'il tait, pour ces mots clos sur les lèvres, mais mieux vaut l'honneur bafoué que la ruine calcinée. Apprécié, juvénile créature aux sourires provocateurs, il se fait ami et oreilles indiscrète. Mascarade obligée, il n'a cependant que l'envie de retirer ce costume poisseux - en attendant, il baisse les yeux, il sourit, il joue ce carnaval, alors que la souffrance résonne en Gotham comme un coeur altéré.

(IV) don't underestimate the skinny boy.

Grand échalas élancé, il n'est rien de plus facile que de sous-estimer ce grand dadais trop vite grandi. Grand mal vous fera. Mordant aux lippes, fureur aux yeux, grossiéreté aux babines, il se fait tigre, félin, prédateur quand on le pousse dans ses retranchements. Ce monde brutal doit être foulé du pied, et il a compris que la timidité, la douceur peuvent être des défauts plus mortels que l'insolence. Doté d'un solide caractère, il ne se laisse pas marcher sur les pieds, offrant aux moqueurs la récolte de leurs railleries. Si il se sait mince, trop chétif pour être puissant, il ne cesse cependant de repousser ses limites. Il met du coeur à apprendre, à devenir meilleur, les pieds engourdis, les muscles courbaturés, le dos voûté d'une fatigue déterminée. Il n'abandonnera pas - cesser, c'est accepter la défaite, l'échec, comme ses parents. Comme son père, devenu alcoolique notoire jusqu'à s'en dissoudre le foie, jusqu'au tombeau paternel ; comme sa mère, aigrie et épuisée, tenant à bout de bras les vies de la fratrie, brouillard d'abattement quant à l'avenir. Oscar refuse de finir ainsi, farouchement déterminé à s'en sortir, à apporter sa petite brique au monde de demain - un univers inaltéré, où les malfrats ne seront pas violemment pendus comme des animaux.

(V) hack life

La technologie a toujours été un échappatoire. L'écran, entre le monde et lui. Cette réalité alternative pour fuir un quotidien de plus en plus lourd. Fardeau allégé par les imageries, puis les dextres trouvent la danse sur les claviers cliquetant. Si il connaît ses limites, si il se sait bien en-deçà des grands bandits virtuels, il possède une faculté innée, cette compréhension logique, cette attirance envers cet univers codé qui lui permet de poser des limites ou de franchir ces frontières brumeuses. Oz se sert de ce don pour obtenir les informations dont il a besoin. L'écran clignote, sombre océan numéraire, et Oscar se fait Jormung4ndr, échappant aux traques. Il sait effacer ses traces mieux que personne, prudent hackeur aux fééries numériques. Si il ne saura renverser cette dictature fiévreuse à la force de sa carcasse frêle, il essayera toujours de se démêler de cet échiquier où, loin d'être roi, il se retrouve pion abstrait sans traits ni voix.

(VI) carry on my wayward son

Il a peur, Oz. Peur d'être pris la main dans le sac, la main dans le codage, l'esprit trop plein de secrets. Il pleure, Oz, ses espoirs brisés, sa famille ruinée, son avenir incertain. Il serre les dents, Oz, déterminé à ne pas abandonner et à retrouver une Gotham qui ne soit ointe du sang des mortels. Il sourit, bravement, Oz, pour camoufler sa peine, son chagrin, parce qu'il reste positivf et qu’il continue d'espérer, Oz, qu'un jour arrivera où la justice prendra forme. Il n'ose imaginer les manières brutes qu'il faudra mettre en oeuvre. Se peut-il que la médecine soit pire que la maladie ? Que le remède soit pire que le mal ? L'escalade de la violence n'est pas une solution, mais que faire quand la justice se pare du masque de l'innocence, quand les innocents prennent part à cette grotesque parodie de tribunal ? Il n'a pas les réponses, Oz, mais le sang a trop souillé les pavés. Il tente, tant qu'il le peut, de venir en aide aux démunis, aux pauvres. Le badge du GCPD brodé sur la poitrine, il se fait avatar de la loi. Il a ce lourd fardeau sur les épaules, et il n'a aucun droit de baisser les bras. Pour ses frères, pour sa mère, pour ces voisins aux regards trop curieux, pour ces collègues qui partagent cette angoisse existentielle, pour ces Ghotamiens qui continuent de lutter.
Pour la Résistance.

(VII) le bazar du bizarre.

Il est allergique aux fraises, mais adore ça, il se fait donc régulièrement des sessions de dévorage de fruits en solo, ça ne dérangera que lui, les plaques d'urticaire. Il a trois chats, nommés Yoda, Jar-Jar et Lando, tous en l'honneur de Star Wars. C'est un geek qui apprécie la culture populaire. Il lit, beaucoup moins qu'avant mais il aime lire, de grands classiques comme des phrasés plus modernes. Pleure devant titanic. Fait de la boxe sur son temps libre en espérant s'étoffer un peu et faire moins minot. Mesure un mètre soixante quinze, encore en pleine croissance, mais les muscles ne suivent pas. N'est pas du matin, il est par contre un oiseau de nuit (mais pas une chauve-souris). accro au café il lui faut ses trois tasses minimum par jour ou c'est ronchon-land. n'a jamais vu la mer, ou du moins ne s'en souvient pas. a hérité de l'accent écossais de maman, quand il s'énerve. a des jurons ou des mots bien à lui. aurait adoré apprendre à jouer d'un instrument, il se contente d'écouter de la musique - tout. le. temps. cultive trois plantes en pot, qu’il change régulièrement car elles ont cette incroyable manie de faner, entre deux arrosages tous les huit mois. gaucher.