|
| (( évent )) i thought i'd see you again, now you're covered in roses instead | |
| Aller à la page : 1, 2 | Auteur | Message |
---|
couleur rp : #FFFFFF. faceclaim, crédits : ilayo (a). pseudo, pronom(s) : ilayo, crevette, fulgrimander. batarangs récoltés : 452 date d'inscription : 17/01/2022
nom de code : maître du jeu. âge du personnage : infini. occupation : vous mettre des bâtons dans les roues. allégeance : personne.
| Sujet: (( évent )) i thought i'd see you again, now you're covered in roses instead 31.05.23 13:17 | |
| Rappel du premier message :les funérailles de gordon Qu'on l'aime ou qu'on le déteste, James Gordon restait une figure emblématique de cette ville, et l'annonce de sa mort a retourné la ville entière. Le temps de quelques jours, les hostilités à Gotham se sont calmées. Les criminels restent dans leur coin, les rebelles se terrent dans leur coin et les partisans de Bruce et ses opinions extrémistes se taisent aussi. Gotham est calme. Gotham pleure. Gotham est en deuil. Les jours ayant suivi son décès furent remplis d'hommages aux quatre coins de la ville, et malgré l'avis défavorable de sa fille, toute personne désireuse de venir se recueillir pouvait le faire dans les vingt quatre heures précédant la fermeture du cercueil. Et la chose la plus remarquable, c'est que pour la première fois de toute son existence, James Gordon semblait enfin paisible. Comme libéré du fardeau qu'était de s'occuper de la ville de Gotham.
Mais aujourd'hui est un grand jour. Aujourd'hui, Gotham doit dire adieu. Aujourd'hui, ce sont les funérailles du commissaire. Cérémonie parfaitement planifiée et prise en charge par la ville, millimétrée à la seconde près. Un parvis d'église rempli de journalistes et d'agents de sécurité déployés. Politiciens, avocats, flics corrompus et autre, toute les têtes importantes sont conviées, lunettes de soleil et faux airs tristes. C'est le moment de se donner bonne conscience. De faire une trêve dans la guerre qui ronge Gotham. Mais c'est pas au goût de tout le monde, parce que dans cette foule d'hypocrites se trouvent quelques personnes qui elles, savaient que les dernières volontés de James Gordon n'étaient pas de cérémonie en grosses pompes. Au contraire, c'était tout ce qu'il méprisait. Sauf que personne n'a eu son mot à dire : même sa mort est utilisée à des fins politiques.
Vous êtes donc conviés à l'enterrement de James Gordon. Que vous soyez un proche ayant reçu une invitation, un simple citoyen suivant la cérémonie depuis les marches de l'église, un agent de GCPD en tenue cérémoniale ou un journaliste cherchant à recenser toute les personnalités Gothamites, vous êtes tous libres de réagir et d'exprimer vos points de vue face à ce tragique événement. |
| |
Auteur | Message |
---|
You never know if you can fly unless you take the risk of falling
doubles comptes : red hood ϟ deadshot couleur rp : #326278 faceclaim, crédits : avan jogia (a) twizzle (s) wadewicons pseudo, pronom(s) : twizzle (she) batarangs récoltés : 92 date d'inscription : 18/10/2022
nom de code : [NIGHTWING] boy wonder, fils prodige, premier rouge-gorge devenu aile de nuit. âge du personnage : [29] enfant perdu en provenance du monde imaginaire. occupation : [GCPD] officier de police, héros, vocation de protéger. allégeance : [FAMILY] fidèle de batman, we are robin.
liens utiles : PRESENTATION ROLEPLAY PHONE MOODBOARD PINTEREST SPOTIFY
(( Sometimes the lines get blurred. Sometimes the only thing between you and them is the mask and cape. ))
circus boy × redheads × gcpd officer × robin legacy × haley the pup × wally the bud × the acrobat × jump at your own risk × cereals addict × romani × lover and fighter.
You can take the boy out of the circus but you can’t take the circus out of the boy.
It was good to see her laugh.
Even if it was at me.
| Sujet: Re: (( évent )) i thought i'd see you again, now you're covered in roses instead 17.07.23 2:14 | |
|
What we do for ourselves dies with us. What we do for others and the world remains and is immortal. ― Albert Pine.
La main fragile d’une fille sur le cercueil de son père, ses lèvres qui affectueusement embrassent le bois vernis de son éternité ; tu as l’impression de profaner cette intimité douce-amère, innocence pure d’une femme qui a perdu l’homme de sa vie. Mais la main de Barbara ne se déloge pas de la tienne, signe qu’elle te veut au plus proche, et tu n’as pas l’intention de bouger. Devant le catafalque, tu te tiens à côté de la jeune femme, silencieux et compatissant, ultime promesse à l’homme allongé de veiller sur elle et l’aider à traverser cette épreuve au cours de laquelle il est si tentant de se laisser chavirer. Désolation mélancolique alors que toutes ces joies et tristesses qui à présent feront partie de sa vie ne seront partagées avec celui qui l’a vue grandir et devenir cette femme incroyable. Tous ces moments, partis en fumée, du jour au lendemain. Mais des lendemain, elle pourra en créer de nouveaux, même si cela lui semble actuellement hors de portée, il y a encore toute une vie qui l’attend, et tu fais le serment de l’aider à voir un jour la lumière au bout du tunnel, peu importe le temps qu’il faut. James Gordon peut partir serein, sa fille n’est pas seule, elle ne le sera jamais, peu importe la nature de vos relations ; parce que t’es tout bonnement incapable un jour de lui tourner le dos, de la laisser tomber quand elle représente littéralement tout ton monde. Tu es son filet de sécurité, comme elle a si souvent été le tien.
Tu sens tout son corps se tendre alors que sa main se referme fermement sur la tienne, te broie les os et tu sens ses ongles s’enfoncer sous ta peau ; signaux d’alerte que tu pourrais comprendre sans connaître si finement le langage du corps humain. Tu serres les dents mais ne dis rien pour la douleur, te contentes se serrer sa main davantage, pour lui dire que t’es là – et probablement implorer un soupçon de pitié pour tes phalanges déjà endolories. Puis tu te retournes pour faire face à la source de cette tension. Bruce a la mine misérable, épuisé jusqu’aux confins de son âme, tout aussi bien a-t-il cherché à le dissimuler. Tu sais que ce doit être difficile, pour lui, aussi. Tu connais l’homme mieux que quiconque, à l’exception d’Alfred ; des parties de sa vie qu’il t’a révélées il y a des années, lorsqu’il venait te secourir de tes cauchemars. Si tu te souviens avec autant de précisions du moment où le philanthrope a déposé son blouson sur tes épaules frêles quand tu pensais voir ta vie s’écrouler sous tes yeux, de tout l’espoir que représentait cette main tendue et désintéressée, Jim a été cet homme pour Bruce – avant de devenir son véritable premier allié. Tu sais, que son décès l’impacte bien plus qu’il ne veut bien le montrer. T’es un peu pris au dépourvu quand elle te laisse ses lunettes pour partir confronter Bruce, parce que de tous les scénarios, c’est celui que tu redoutais le plus, et la présence du chien de garde de ton mentor ne fait rien pour te rassurer. Tu comprends que Barbara lui en veuille, lui reproche la mort de son père, et sincèrement tu partages autant sa peine que sa colère, mais ça fait mal, aussi, de se retrouver entre les deux quand tu es intimement convaincu de l’innocence de Bruce. Tu vois une personne de plus lui tourner le dos, le pousser à s’enfermer dans ses propres ténèbres et rejeter encore un peu plus les personnes qui tiennent à lui. Ca fait presque aussi mal que d’entendre la personne que tu aimes souhaiter voir ton père bien qu’adoptif dans un cercueil. C’est précisément la réplique qui te fait réagir. « Hé, doucement », tu protestes brièvement en fermant la distance qui vous sépare de quelques pas, mais c’est inutile, ta voix tombe dans le néant alors que celle de la demoiselle reprend de plus belles, plus animée aussi. Et tu n’oses pas franchement la couper, parce que tu n’as aucun droit de lui dire comment réagir, encore moins dans de telles circonstances. Ce n’est pas à toi de le faire, et tu détournes honteusement le regard, restes légèrement en retrait. Alors elle continue de cracher son venin au visage de Bruce, et tu serres la mâchoire ; des mots bien violents, des mots qu’elle a besoin d’extérioriser pour ne pas les laisser la bouffer de l’intérieur, mais des mots qui le blessent même s’il reste de glace.
« Babs ! » Tu n’es pas prêt à voir partir le coup, et encore moins à la rattraper lorsqu’elle s’effondre ; dans la même seconde tu la rejoins au sol, inquiet, et l’attrapes dans une enlace protectrice – comme si tu pouvais un instant la soustraire à ces regards indiscrets, à ce monde parti en vrille. Tu restes entre elle et Bruce lorsqu’elle se relève, mais cette-fois c’en est trop, tu fais le choix d’abandonner le silence. « Stop », tu souffles doucement, avec la même pointe d’autorité que quand tu t’adressais aux Titans, à l’attention des protagonistes de cette scène. « Ce n’est ni le moment, ni le lieu pour ça. Aujourd’hui, on honore sa mémoire, les comptes attendront… ». Te voilà désormais et officiellement loti le fondement entre deux chaises, et tout ce que tu souhaites c’est calmer le jeu. Pour ne pas faire plus de mal encore à Bruce, mais aussi éviter que sa propre colère ne le perde et que la situation de se complexifie davantage, qu’il continue de la blesser à son tour. Pour préserver la sérénité de cet endroit sacré, aussi, lieu de recueil et d’hommage. Sincèrement, tu aurais aimé un peu d’aide, mais tous semblent plus intéressés par le fait de filmer la scène ou la commenter, détourner le regard pour les plus respectueux. Alors, une main toujours agrippée fermement sur l’épaule de la rousse et sans même remarquer la figure familière qui se glisse derrière vous, tu lèves tes yeux azur vers ton père, profondément désolé, et articules ce qui te fait mal de prononcer. « Bruce, s’il te plait… S’il te plait, il vaut mieux que tu restes à l’écart… ». Parce qu’il vaut mieux ne pas insister, pour le bien de tout le monde il serait certainement préférable qu’il assiste aux funérailles du fond de l’église, pour éviter tout scandale supplémentaire, et parce que c’est un bon compromis entre leurs volontés opposées. Et même si les deux sont profondément bouleversés par cette perte, là, pour le moment, Barbara est la priorité.
|
| | doubles comptes : floyd lawton, richard grayson couleur rp : #9c231c faceclaim, crédits : richard harmon (a) twizzle (s) lomakes pseudo, pronom(s) : twizzle (she) batarangs récoltés : 353 date d'inscription : 15/03/2022
nom de code : [RED HOOD]. Il eut autrefois survolé les toits de Gotham sous les couleurs de Robin, le second du nom, puis porté le casque de l'Arkham Knight. âge du personnage : [26]. Quelques années perdues en cours de route cependant. occupation : [OUTLAW] Divers mandats d'arrêt issus de différentes agences gouvernementales à son actif, il botte des fesses et travaille sous couverture dans les bas fonds d'un casino. allégeance : [MY ASS]. Ses actions le rapprochent davantage de la résistance, dont font partie ses plus proches alliés, mais il suit son propre commandement.
liens utiles : FICHE LIENS/RPS PHONE MOODBOARD SPOTIFY PINTEREST
Well. Shit.
(( my name is jason todd. or better known to the NSA, CIA, homeland security, FBI, KGB, mossad and interpol as the red hood. ))
Dog the emotional support american staff ◈ morning person ◈ ptsd ◈ compulsive smoker ◈ neat freak ◈ former robin ◈ former arkham knight ◈ former crime lord ◈ j scar ◈ white streak ◈ classic literature ◈ claustrophobic ◈ rich bitch ◈ roommate with replacement.
Keep your head high. And your middle finger higher.
| Sujet: Re: (( évent )) i thought i'd see you again, now you're covered in roses instead 17.07.23 14:44 | |
|
We’re born alone, we live alone, we die alone. Only through our love and friendship can we create the illusion for the moment that we’re not alone. -- Orson Welles.
De toutes parts, des faces moroses, abattues ; gueules d’enterrement sur tous les visages, même ceux qui ne connaissaient pas le défunt, sublime hypocrisie à son paroxysme. Ca fait la tronche et ça chiale, mais toi t’as une mine impassible, parce que tu peines à trouver l’étincelle d’une émotion, partiellement éteintes depuis bien longtemps - étouffées par le reste de tes afflictions. Sans doute encore un de ces fichus codes sociaux auxquels tu ne connais rien, convenance populaire que de baisser les yeux proche des morts. T’as pas vraiment assisté à des obsèques avant, pas même celui de ta mère que tu aimais si profondément, alors que t’es celui qui l’a trouvée les yeux vitreux et couverte de bile, seringue encore à la main. Parce que personne s’est soucié du gamin de Crime Alley roulé en boule dans son coin. Ironiquement le seul enterrement auquel t’as assisté, c’était le tien, et c’était les pieds devant. Alors bien-sûr, tu te sens mal pour Barbara, raison pour laquelle tu te tiens dans ce costard sombre au milieu d’une église ; il est regrettable aussi de voir un grand homme s’en aller. Mais à part ces préoccupations, t’es bloqué dans cet état de léthargie quasi constante, qui depuis ton retour t’empêche de ressentir les choses pleinement, comme si tu ne vivais plus qu’à moitié. Et sincèrement, toute cette ambiance funèbre te met mal à l’aise, tu devrais probablement te sentir plus dépité, et ça te rappelle une fois de plus que t’as rien à foutre ici. « Pauvre fille, elle est totalement brisée », que t’entends souffler parmi les chuchotements environnants, et tu secoues la tête. Barbara n’est pas brisée, c’est l’insulter que de prétendre le contraire. Tu le sais, parce que t’as toi-même été brisé un jour, réduit à un moins que rien faible et pathétique, suppliant qui le veut pour t’autoriser à clamser. Le deuil, c’est différent, c’est naturel. C’est sain. Et la colère en fait définitivement partie. Une colère, à laquelle la tienne fait échos quand tu observes la silhouette presque fantomatique qui se dresse devant elle, objet de ses éclats. Tu serres les poings, creuses tes ongles dans la chair de tes paumes. Comme si ça ne lui avait pas suffi de raviver tes traumas en te gardant des jours entier dans ce sous-sol étouffant d’Arkham, comme si ça ne lui avait pas suffi de te cogner dessus, de briser tes os et ta fierté, une fois encore. Il ne pouvait s’en contenter, non. Voilà maintenant que devant toi se dépeignent ses exploits les plus récents, Barbara effondrée au milieu de l’audience, devant la dépouille de son père. Encore un allié, blessé, trahi par sa faute ; encore un allié, mort par sa faute. Parce que ce putain de nuisible aux oreilles pointues n’apprend jamais de ses erreurs. Oh. Ca y est. Voilà que tu ressens quelque chose finalement, derrière l’amertume. Entendre le désespoir dans la voix de Babs, la voir au milieu de cette troupe de chacals qui essayent de capturer leurs meilleurs images, devant son bourreau, tu sens que ça bloque quelque chose dans ta poitrine. Quelque chose qui te frustre, qui remonte ; quelque chose qui titille les aspects les plus sanguins de ta personnalité. Paradoxalement, de tous les sales gosses qui se sont vus brodés un R sur leur uniforme, t’as toujours été le plus sentimental. Ou plutôt celui qui était l’esclave de ses propres émotions, ce qui t’a empêtré dans une tripotée de bien mauvaises situations. Aujourd’hui, cet aspect-là reste définitivement ta plus grande faiblesse. Parce que t’es plus objectif quand on fait souffrir les personnes auxquelles tu tiens, définitivement protecteur, et celles-ci se comptent sur les doigts d’une seule main. Alors, sans réfléchir, ou plutôt en envoyant bouler toutes les conséquences éventuelles de tes actes, tu te lèves, motivé par les sanglots de la jeune femme, et termines ta route déjà bien entamée vers ton amie. La vision du cercueil te noue l’estomac, si bien que t’évites de trop t’en approcher pour éviter d’attiser les visions que tu vois déjà suffisamment quand tu fermes les yeux. Tu te places néanmoins dans le dos de Dick et Barbara, silencieux et inquisiteur. Tu croiserais les bras sur ton torse si l’un des deux n’était pas en écharpe, à la place tu glisses la main du valide dans la poche de ton pantalon. C’est stupide, complètement idiot de ta part, quand t’es toujours un homme recherché – bien que ton identité ne soit pas encore compromise, surtout dans ton état, et encore plus avec la présence de Wilson, qui indépendamment des soucis gouvernementaux a décidé qu’il voulait ta peau. Avec toutes ces caméras qui traînent dans le coin qui plus est, alors que t’es sensé demeurer canné. Mais c’est plus fort que toi, tu veux appuyer le côté de Barbara, défendre l’homme de s’approcher d’elle ou même ne serait-ce qu’oser lui adresser la parole, parce qu’il n’en a aucun droit, il en a déjà suffisamment fait. Et peut-être bien que tu veux lui faire du mal, aussi. Mais si une multitude de blasphèmes et accusations acerbes te démangent cruellement, que t’as un bon nombre de choses à lui crier dessus ne serait-ce que pour avoir osé pavaner devant la fille du commissaire, tu sais encore te taire en mordant ta langue jusqu’à goûter le parfum bien distinct métallique dans ta bouche. Parce que ton but n’est pas de faire une scène, par respect pour Barbara, et parce que tout autant que ça t’embête de l’admettre, Dick a raison : ce n’est pas le lieu. Alors tu restes simplement immobile et mâchoire crispée derrière, comme support, présence qui se veut dissuasive pour le chevalier déchu de Gotham.
|
| | | Sujet: Re: (( évent )) i thought i'd see you again, now you're covered in roses instead | |
| |
| | | (( évent )) i thought i'd see you again, now you're covered in roses instead | |
|
Sujets similaires | |
|
| |