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| this is the last day of my life, yours too : haven't you ever seen the ocean look so blue ? (babs) | |
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🦇 they think i'm hiding in the shadows, but i am the shadows.
doubles comptes : harleen f. quinzel. couleur rp : #bcbcd1. faceclaim, crédits : JDM -- (a) disastereyes. pseudo, pronom(s) : astera (elle/iel). batarangs récoltés : 1006 date d'inscription : 17/01/2022
nom de code : (( THE BATMAN )) the shadow in the sky, the dark knight of a dark place ; the man who whispers to the bats. âge du personnage : (( 51 )) years and years of suffering, hidden at the bottom of your heart. occupation : (( GC MAYOR, WAYNE ENTERPRISES CEO, VIGILANTE )) pretty face by day, vengeance at night. allégeance : (( SOMETHING WICKED )) obsessed with justice, no matter the cost of it.
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THERE'S SOMETHING
IN THE WAY
-- wars erupting like volcanoes,
blood streaming down the walls,
it's out of our hands, so baby let go.
and war is all you ever seen,
your war behind the screen.
and all it means to me,
when you are numb, i'm forgiven.
when you've been gone,
lost in the lapse again.
| Sujet: this is the last day of my life, yours too : haven't you ever seen the ocean look so blue ? (babs) 12.12.22 10:41 | |
| will you follow me into the dark ? if you lose it all, will it fall apart ? will you follow me into the dark ? ( music ) -- @barbara l. gordon Ta dernière altercation avec Barbara avait été mouvementée. Elle avait débarqué dans ton bureau, à l'asile d'Arkham, sans même prévenir. Tu la savais pertinemment de ton côté, mais tu savais aussi qu'elle n'approuvait pas toutes tes nouvelles méthodes à 100%. A l'époque où Robin n'était l'alias que d'un seul jeune homme et où la justice ailée rousse commençait carrière, tu lui avais répété les mêmes mantras que tu as toujours répété tout au long de ta vie de chauve-souris, n'omettant pas une règle essentielle, la plus importante de toutes : tu ne tueras point. Une règle que tu as mis vingt ans à transgresser, tout en te rendant compte de la nécessité de le faire. La criminalité avait chuté, ces dernières années ; grâce à toi, grâce à ce fardeau que tu portais lourdement sur tes larges épaules. Et tu commençais à en avoir plus qu'assez qu'on te le reproche. Barbara, Jason, Tim...les personnes sur lesquelles tu avais su compter auparavant devenaient petit à petit des étrangers, et tu ne voyais pas l'ironie de la situation ; tu te persuadais qu'ils avaient changé, qu'ils refusaient de te suivre alors que tu savais que tu avais raison, sans réaliser que celui qui avait réellement changé, c'était toi. Toi Bruce, et ta froideur extrême, tes convictions qui échappent à l'éthique. Le problème n'était jamais toi, toujours les autres, et tu ne te gênais pas pour rejeter la faute sur autrui lorsque quelque chose n'allait pas. C'était aussi le souci avec le pouvoir, toi qui les avait pleins et complets dans cette ville dans laquelle tu œuvres depuis déjà si longtemps, né dans ce cocon qu'est Gotham, dévoué et dédié à celle-ci. Tu ne l'admettrais ô jamais, ni à toi ni à quiconque ; le pouvoir t'est monté à la tête et, si tu gardes des intentions qui se veulent encore bonnes, tu l'utilises d'une manière qui aurait fait vomir une version alternative de toi qui vivait encore il y a de cela dix années. Transgresser ta fameuse règle était un point de non-retour, et tu le savais. A dire vrai, l'acte n'a pas été impulsif, le premier en tout cas. Tu y avais mûrement réfléchi, tu y avais longtemps songé. Tu l'avais considéré, mais étais-tu prêt même à porter ce fardeau supplémentaire ? La conclusion était là aujourd'hui, sous ton nez et sous celui d'une population toute entière : dictateur pour certains, tout en ayant conservé ton statut d'ange et sauveur de Gotham ; le Chevalier Noir dans toute sa splendeur, éternellement controversé. Les talonettes de tes chaussures claquent contre le bitume, l'air chaud de l'intérieur balaye tes joues refroidies par le temps extérieur, passant une main vive dans tes cheveux pour en retirer les flocons de neige qui se sont posés sur tes brins plus argentés que bruns désormais. Tu tournes le visage vers l'accueil, tu envoies un signe de tête vers les deux libraires qui observent ton entrée avec des yeux ronds, des pupilles au fond desquelles tu y décèles surprise et presque une crainte. Tu leur arbores un sourire poli mais franc, qui semble les rassurer un peu. « Good afternoon. » Et rien de plus, tu continues ton chemin en attirant les regards sur toi, ce dont tu avais l'habitude depuis longtemps en étant Bruce Wayne – un peu moins lorsque tu étais Batman, mais cette fois-ci les regrettant presque. L'intimité était un luxe que tu ne pouvais te permettre depuis très longtemps, mais tu te souviens d'une époque où le monde autour de toi n'était pas conscient de la cape que tu revêtais lorsque la nuit tombait, une époque où tu pouvais quand même imposer tes conditions, mais aujourd'hui, et ce depuis que tu t'es révélé pleinement au monde entier, tu ne pouvais plus te le permettre. Malheureusement. Tu dépasses les quelques personnes présentes, le silence est toujours prenant. Seules tes talonettes claquent encore et brisent le calme de la bibliothèque. Au loin, tu la voies : elle est exactement comme tu avais espéré la trouver. Elle ne t'attend pas, et à dire vrai, tu ne t'attendais pas toi non plus la voir ce jour même. On t'avait annoncé son retour il y a peu, de la bouche d'une autre personne, et elle n'avait même pas encore fait l'effort de venir te voir. Votre dernière discussion passe en boucle dans ton esprit, un mélange de dégoût et de frustration, de colère que tu ne pourrais cependant pas laisser exploser sous les yeux de tous, ici. Tu savais que tu allais devoir te contenir, faire bonne figure – comme d'habitude, tu étais devenu très bon acteur, mais tu savais aussi que les doigts t'en tremblent, que la fatigue tire tes traits bien plus que d'habitude, que ton estomac se tord de douleur tant tu en oublies de le remplir, que ton souffle est anormalement saccadé ; mais si bien habillé et presque élégant, la populace autour de vous n'y verrait que du feu, seuls les personnes qui sont et ont été proches de toi pourraient aisément deviner les démons qui se chamaillent au fond de ton âme et tiraillent ton esprit épuisé. Tu arrives à sa hauteur, elle semble plongée dans sa lecture, et tu te râcles la gorge pour t'annoncer. Tu attends qu'elle lève la tête et qu'elle pose ses yeux sur toi pour prendre la parole. « Hello, Barbara. » Tu contournes la table, tires la chaise qui se trouve en face de la sienne, et tu t'assois. « I think we need to talk. » Elle n'a aucun échappatoire, et tu le sais. Elle est obligée de te confronter. Maintenant. (c) mars. |
| | the princess saves herself in this one.
faceclaim, crédits : emma stone,cheekeyfire. pseudo, pronom(s) : TICKETS TO MY DOWNFALL., elle. batarangs récoltés : 54 date d'inscription : 17/01/2022
nom de code : (( batgirl )) âge du personnage : (( twenty eight )) occupation : (( librarian )) allégeance : (( batman ))
-- (( BATGIRL )) she's an undiscorved element, either born in hell or heavensent. she's not acid, nor alkaline. caught between black and white. not quite either day or night. she's perfectly misaligned.
THE VICIOUS CYCLE WAS OVER
the moment you smiled at me.
is it the way that you talk that's causing me to freak? is it the way that you laugh that's making my heartbeat ? if it the way that you kiss ? it's gonna be the way you taste. is it the way that you feel against my body ? is it the way that you act so damn naughty ? you're such a gorgeous nightmare, hold habits never seem to go away. you make me feel brand new, we're resurrect it's like i've come back to life.
| Sujet: Re: this is the last day of my life, yours too : haven't you ever seen the ocean look so blue ? (babs) 12.12.22 12:51 | |
| will you follow me into the dark ? if you lose it all, will it fall apart ? will you follow me into the dark ? (music) -- @bruce t. wayne Tu restais discrète sur ta localisation. Si d'ordinaire tu la partageais avec toute la batfamily, aujourd'hui, seul Dick était celui réellement conscient de où tu étais en temps et en heure, du moins, principalement quand ça concernait les patrouilles nocturnes. Pourtant, même si tu ne partageais plus les endroits que tu fréquentais, il y avait deux endroits où te trouver était une logique sans nom : La tour de l'horloge, pour être simplement reconvertie en éternel appartement depuis que tu avais été Oracle, mais aussi ton propre petit QG personnel te permettant d'éviter la batcave. Ou la bibliothèque, puisque c'est là-bas que tu travaillais et passait la plupart de ton temps quotidien. Véritable refuge, c'était comme si ici, personne ne pouvait venir te toucher ou te heurter. Ici, pas de fille du commissaire qui tenait, pas de Batgirl, tu étais juste Barbara. Et tu pouvais assouvir ta passion pour la lecture ce qui, qu'on s'le dise, avait toujours été un véritable échappatoire pour toi. A l'époque du lycée déjà, tu étais plus souvent dans les couloirs de la bibliothèque plutôt qu'à assister aux divers matchs des équipes diverses, préférant de loin le calme de celle-ci plutôt que l'excitation des évènements sportifs. C'était pas la carrière de tes rêves, mais c'était mieux que ce que tu pouvais espérer et en vue de la situation actuelle, tu préférais de loin ne pas être au GCPD. Dans tout les cas, c'était ton refuge, ton endroit, ton cocoon de protection qui te permettait de te détendre et de ne pas penser à toute la situation actuelle. Comme d'ordinaire tu t'activais, à droite, à gauche et tu étais en plein tris des nouvelles arrivées. Dans un bureau égaré un peu plus loin que celui de l'accueil, tu alternais entre les livres qui s'offraient à toi et l'ordinateur pour imprimer, enregistrer et ranger les nouveaux livres qui se présentaient à toi. Parfois, tu prenais des références parce que tu savais que toi même tu allais en lire quelques uns. Bon tu les lirais probablement tous, mais ça c'était un autre détails. T'étais prise dans ta mission, alternant d'un luvre à l'autre, enchaînant sans pour autant le surmenage. T'aimais cet endroit pour ça, parce que tu y allais à ton rythme tant que le travail était fait. Ils s'en foutaient, de quand c'était fait, comment c'était fait tant que c'était fait, et que les objectifs de semaine étaient remplis – qui, on se le dise, était pas excessivement complexe à atteindre. Surtout car les aller-retour étaient nombreux, qu'il s'agisse des étudiants qui venaient en quête d'endroits silencieux et éloignés de la faculté ou des gamins dont les parents n'avaient pas les moyens de payer des divertissements régulièrement. Du coin de l'oeil tu vois une silhouette apparaître dans cette allée où tu es. Si n'importe qui aurait redressé la tête pas toi, parce que t'as assez d'expérience en tant que détective pour savoir de qui il s'agit rien qu'au bruit des talonnettes et à la manière dont les pas s'enchaînent. Et tu ne te laisse pas intimider, cependant, une soudaine rage naît au profond de ton estomac qui entraîne des mouvements plus secs, tes doigts qui pianottent plus violemment sur ton clavier et tes sourcils qui se froncent très légèrement. Petit cocoon à toi soudainement pourrit par la présence de cet homme que tu méprisais plus que tout désormais et l'intelligence était telle qu'il avait trouvé le moyen de venir te trouver sans que tu puisses filer en l'ignorant. Depuis ton retour tu n'avais pas daigner le tenir au courant de quoi que ça soit, et c'était volontaire. Il était hors de question que tu lui parles au risque de laisser ton poing partir dans sa mâchoire de lui même. Tu restais, parce que tu étais la seule à éviter les drames. Les déliquants de quartiers se réjouissaient souvent quand ils te tombaient dessus, parce qu'ils savaient que leur sort était probablement moins grave quand c'était toi. Tu les trainais pas dans la boues, au pire du pire, tu les faisais passer une nuit au commissariat histoire de les refroidir. Mais tu passais outre les règlementations car il était hors de question que tu te salisses les mains. Jamais, ô grand jamais, tu n'oserais franchir cette étape et cette règle qui avait été imposée au début de ta carrière, dix ans auparavant. Jamais tu ne te rabaisserais à ce niveau. Il s'assoit en face de toi, et tu peux pas t'empêcher de serrer un poing en vue de son culot. Tu cherches à garder ton sang froid et alors que tu redresses enfin la tête, le sourire le plus hypocrite que tu peux au visage. – Bruce. How daring of you it is for you to come here. Tu déclares avant de fermer violemment le livre que tu avais dans les mains. Si violemment qu'une mèche de cheveux vole et que certaines personnes se retournent pour voir d'où provient ce bruit si soudain. Tu pousses la chaise avant d'attraper plusieurs livres désormais étiquetté pour commencer à aller les ranger. C'était pas dans tes plans, mais n'importe quoi pour l'éviter. – I have work to do. So except if you here to tell me you're resigning as a mayor, I have nothing to tell you. Si il était possible de tuer du regard, probablement qu'il tomberait mort. D'avance, tu remarques une de tes collègues qui semble intrigué et semble surprise de voir ton language corporel face au Maire de la ville. Personne n'osait parler à Bruce Wayne de cette manière, mais quand on le connait sous son autre jour depuis si longtemps, pourquoi ne pas se géner ? Encore plus quand tu avais eu l'opportunité de trainer assez au Manoir à l'époque de ton adolescence quand Dick et toi étiez dans les prémices de votre relation. (c) mars. |
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