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 Beauty and the fool ft. Zoe Lawton

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AuteurMessage
Roy W. Harper
I'm just a selfish ass or maybe it's what I want you to believe.

Roy W. Harper
couleur rp : #cc3333 faceclaim, crédits : Garrett Hedlund ; @cristalline pseudo, pronom(s) : Obsidian ; Il batarangs récoltés : 444 date d'inscription : 29/10/2022

nom de code : Arsenal
âge du personnage : 32 ans.
occupation : Propriétaire de son propre garage.
allégeance : I'm an Outlaw your honor.

liens utiles : FICHE DE PRÉSENTATION / lien iciFICHE DE LIENS / lien ici


MessageSujet: Beauty and the fool ft. Zoe Lawton   Beauty and the fool ft. Zoe Lawton Empty06.12.22 16:51

Beauty and the fool

You were still in your diapers when I did start this so don't believe you can show me something. This is not a game kiddo. You'll soon enough hurt yourself.  ft.  @Zoe Lawton


 « Where is he? » Ton arc était braqué et la tension, tu la ressentais dans tes doigts. Les dernières semaines n'avaient pas été tendres avec ton corps et encore moins avec ton esprit. Avant ta réaction face à cette adversité aurait été putainement simple, un garrot, puis une petite piqûre t'aurais permit d'oublier ses maux qui t'habitaient. La solution aurait été temporaire, mais rien, ni personne en t'aurait réellement empêcher de recommencer le processus. Il avait changé ça, mais il n'en restait pas moins que ton cerveau le savait. Une injection, c'est tout ce que ça l'aurait pris et peut-être que tu n'aurais même pas mis les pieds dans ce coin de la ville, mais non, tu n'es plus cette version zombifiée de toi-même. Enfin, t'essaies de ne plus l'être. Pour toi, pour lui, mais aussi pour elle, et ce, même si elle n'apprécie plus les petits moments de la vie. Le sourire de l'homme étendu sous ta flèche t'indiquait qu'il n'avait pas l'intention de parler. Il y avait bien juste à Gotham que ce genre de situation pouvait arriver ou était-ce toi qui étais devenu trop doux dans tes approches ? Non, impossible que ça soit toi. Cette ville de misère était différente de Star City en tout point et les criminels l'étaient aussi. La peur qui rongeait le cœur des citoyens dans la ville de ton enfance n'était pas représentée par le même symbole qu'ici et ça ne faisait pas assez longtemps que tu te pavanais dans les rues pour t'être fait en réputation. Voilà, oui, ça devait être ça. En fait, tu te plaisais à croire que c'était juste ça et qu'ici ou là-bas ton arme invoquait la même frayeur dans l'esprit des criminels que tu voulais arrêter. Une chose était certaine en ce moment, tu retenais la flèche de toutes tes forces, combattant avec toi-même l'idée de la relâcher. T'imaginais son sourire s'éclater sous l'impact, puis son petit rire narquois s'éteindre alors qu'il poussait son dernier souffle. L'envie était là, très présente même, mais si tu cédais à cette tentation, tu n'aurais pas les informations que tu cherchais et encore moins l'homme.

Tu fis un mouvement sec vers l'avant, frappant ton poing contre la gueule de l'homme. Rapidement, il ravala son petit rire, ce qui t'offrit une pause. « Where is Lawrence Crock ? » Dire son nom te ramenait au moment où t'avais appris la vérité sur ta relation avec sa fille. Jade t'avait cachée jusqu'à ce moment-là qui était son père, tout comme elle t'avait aussi cachée le fait qu'elle n'avait aucun sentiment envers toi. Une période noire, sombre et dévastatrice qui t'avait conduit dans les abysses, mais à laquelle tu semblais t'accrocher encore malgré tout. N'avais-tu pas appris Roy ? Il faut croire que non, car un autre coup de poing percuta l'homme avant que tu ne réitères ta demande. S'il se trouvait, l'homme en savait rien pour le moment, mais tu devais en être certain. Crock, c'était assurer que tu saches qu'il était présent dans la même ville que toi. Bordel, à cause de lui, t'avais fichu ta couverture lors de la soirée mondaine avec Jason. Ton nouveau coup reparti la machine à rire qui était à ta merci. Frustré par la situation, tu relâchas la flèche en déplaçant délicatement ton arme sur le côté, t'assurant ainsi de manquer ta cible qui était pourtant si facilement atteignable. « The next one is directly between your eyes, so I recommand that you start the talking and that you do a little bit less of the laughing thing. » L'homme continua tandis qu'une autre voix s'éleva dans ton dos. « He can't talk... He's mute, but if you insist to look stupid more than usual, I can let you continue a little bit. » Cette voix, tu l'aurais reconnu entre mille. Ton cœur battait de plus en plus vite et tu savais qu'une fois en face de lui, il n'y aurait rien qui allait t'arrêter. Il l'avait poussé à tout faire ce qu'elle avait fait. Il était la raison même du pourquoi t'avais tant souffert lorsqu'elle était partie avec ta petite Lian. À bien y penser, ce connard t'avait amené beaucoup de peines, mais aussi bien d'autres choses, mais il n'en restait pas moins qu'il allait devoir payer pour ce qu'il t'avait fait.

Sans hésitation, tu frappas de façon bien plus convaincante l'homme de main, avant de braquer ta flèche dans la direction de ton ancien beau-père, mais plus rien. Pendant une seconde, tu crus devenir encore plus fou que tu l'étais déjà. Impossible, que t'ailles imaginer ce moment, t'avais entendu sa voix, t'avais vu sa silhouette. D'un bond, tu te relevas pour avancer vers la place qu'il occupait il y a de cela quelques secondes. Les lumières de l'université de Gotham éclairaient à peine l'endroit que t'avais choisit, après tout, tu ne voulais pas être vu en train de tabasser un homme, mais peut-être que ça t'aurais aussi permis de repérer Sportsmaster bien plus facilement maintenant que tu y penses. T'avançais à pas de souris, balançant ta tête de droite à gauche. Tout ce que t'avais besoin, c'était une piste, un seul petit indice qui te remettrait sur sa piste. Tranquillement, t'approchas d'un mur, prenant couverture contre celui-ci, respirant un bon coup avant de te lancer. À peine ton corps sorti du coin, c'est un coup de bâton qui te heurta dans le dos. Le coup fracassa l'arme de ton rival, te poussant dans une chute, alors qu'un cri de douleur s'échappa de ta bouche. Ton arc tomba près de toi, mais un pied vint la pousser plus loin, t'enlevant ainsi l'option de riposte rapide malgré la douleur. « You're really a dumbass Harper. Did you really believe that I'll come for you. No you're nothing. » Un piège, voilà ce qu'il t'avait tendu et bien sûr la tête brûlée que tu es est tombé de-dans. Un appareil électronique tomba au sol près de toi, puis tu compris qu'il avait tout manigancer, n'étant même pas présent sur les lieux. « You were not worthy of my pretty girl, and you're not worthy of my time neither. That's why my friend over here's gonna take care of you while we prepare the next step of our plan. » La voix s'éteignit, puis une première série de coup te coupa le souffle, alors que t'entendis au loin d'autres pas arriver.




CODAGE PAR AMATIS
AVATARS PAR ECRIRE praimfaya & bambi eyes
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Zoe Lawton
Liveshot, like Deadshot but... I don't want to kill anyone...

Zoe Lawton
couleur rp : #714592 faceclaim, crédits : Hailee Steinfeld pseudo, pronom(s) : Lioma - elle batarangs récoltés : 451 date d'inscription : 28/10/2022

Beauty and the fool ft. Zoe Lawton 29.0

nom de code : [LIVESHOT] vous savez, comme Deadshot. Sauf qu’elle ne veut tuer personne...
âge du personnage : [22 ANS], bien qu’elle donne l’impression d’en avoir moins.
occupation : [ETUDIANTE DANS LE JOURNALISME] les petits potins, ça la connaît.
allégeance : [INDEPENDANTE] la résistance ou la dictature, très peu pour elle

liens utiles : fiche ♦️ liens ♦️ phone

Beauty and the fool ft. Zoe Lawton 29.1

MessageSujet: Re: Beauty and the fool ft. Zoe Lawton   Beauty and the fool ft. Zoe Lawton Empty08.01.23 21:52

Beauty and the fool
feat  @Roy W. Harper
Le vent froid te fouette le visage et tu profites du calme ambiant pour prendre une profonde inspiration. Ton costume enfilé et ton arc posé à tes côtés, tu observes la ville nocturne s'affairer en-dessous de toi. Tranquillement installée au sommet d'un toit, tu gribouilles d'un air absent sur ton carnet à dessin. Ton crayon effleure à peine la page toujours blanche, parcouru par endroit de traits noirs informels... Le cadre est pourtant idéal toi qui adore rendre sur papier les quelques rares beaux paysages que peut t'offrir cette sombre Gotham. A croire que du haut de ton perchoir, les crimes, la violence et la dictature n'existent plus, seuls persistent les lumières, les formes noires des habitations et les silhouettes floues des quelques passants. Vision plus poétique que seuls certains endroits peuvent offrir aux élus qui savent où chercher. Pourtant ce soir, ton esprit est occupé ailleurs... Ton crayon suit le chemin de tes pensées et trace automatiquement une ligne noire, maladroite, tremblotante et fuyante sur la feuille de ton carnet.
Ca fait des jours que tu n'es pas sorti sous les traits de Liveshot. Des jours que tu joues la fille normale, au passe-temps nocturne banal et sans danger. Tu n'es pas sorti jouer les héroïnes depuis que ton père à découvert ton petit manège. Bien sûr, tu n'es pas idiote : dans une ville enfermée derrière un dôme, ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne fasse le rapprochement. On tourne vite en rond dans ce bocal qu'est Gotham. Tu ne pensais pas que ça irait aussi vite cela-dit... Sous-estimer Deadshot ? Mauvaise idée. Tu te remémores l'instant, ton regard vide parcourant absent les ruelles sous tes pieds : tu revois l'expression de son visage lorsqu'il pose les yeux sur toi. La peur que tu arrives à y lire, alors que tout ce que tu voudrais c'est qu'il soit fier de toi. Liveshot. C'est en partie grâce à lui qu'elle a vu le jour. Toi qui le voyait comme un héros enfant, alors que toutes les pièces du puzzle n'était pas encore en ta possession... Vision naïve qui ne t'a pas quitté depuis, toujours persuadée de pouvoir sauver le monde sans jamais avoir à tuer personne. Tu n'imaginais pourtant pas déceler cette faiblesse chez ton père. Cette peur discrète qui a brillé un court instant dans son regard avant d'aussi vite disparaître, remplacée par une colère furieuse. Tu ne l'as pas imaginé pourtant... Tu sais ce que tu as vu, et cette vision t'as hanté pendant ces derniers jours, t'empêchant de renfiler le costume.
Deadshot n'a peur de rien.
Deadshot est invincible.
Ton héro imperturbable.
Mais cette vision s'est fissurée cette nuit-là. Deadshot n'est pas invulnérable, Deadshot est un père. Un père inquiet pour sa fille. Inquiet pour toi. Inquiet à cause de toi. Cette idée t'as frappé comme un poing dans l'estomac. Tes actions ont des conséquences... Quand bien même tu te crois assez forte pour les surmonter.
Tu veux lui prouver que tu n'es plus une enfant. Que tu t'es entraînée. Que du haut de tes vingt-deux ans, tu es capable de gérer. C'est bien pour ça que tu es de nouveau de sortie ce soir. Pour t'endurcir, pour agir. Pour ne plus voir cet air inquiet sur son visage. Effacer cette culpabilité qu'il ne semble pas avoir conscience de montrer. Mais qui néanmoins te blesse. Tu es forte, et tu comptes bien le lui faire comprendre.

La motivation retrouvée, tu ranges soigneusement ton carnet et ton crayon dans une des poches de ton costume et te relèves avec vigueur. Les méchants ne vont pas se chasser tous seuls après tout. Tu guettes, tu zieutes, tu écoutes. Tu passes de toit en toit à la recherche d'une âme en peine à aider ce soir. Bien vite, tes jambes te mènent sur un bâtiment non loin de l'université et tu plisses les yeux pour espérer percer l'obscurité. L'endroit est très mal éclairé.
Des bruits de luttes te font soudainement tourner la tête et t'attires à quelques pas de là. Tu avances doucement de peur de tomber, sors lentement ton arc et encoches une flèche que tu gardes tranquillement entre tes doigts, prête à tirer. Tu as du mal à te repérer, l'endroit renvoie un léger écho qui t'empêche de clairement identifier la source du conflit. Bientôt tu distingues deux silhouettes, l'une d'elle qui  se défoule sur l'autre à grand renfort de coups de poings, de coups de pieds. Aucune pitié. Tu ne réfléchis pas plus longtemps : alors que l'autre lève la jambe pour asséner une énième attaque, tu vises et laisses partir ta flèche qui vient se planter directement dans sa cuisse. La force d'attraction lui fait manquer son coup, et son pied atterrit à quelques pas de la tête du rouquin - tu t'es assez rapproché pour pouvoir distinguer ce détail. L'homme grogne, se relève maladroitement. Il te fait face, surprit par l'adversaire qui se présente devant lui : tu le sais par son haussement de sourcils déconcerté. Alors quoi, il n'a jamais combattu de femme avant ? Ou ta taille le fait-il tiquer ? Peu importe, tu n'attends pas qu'il reprenne contenance pour frapper. Tu vises sa jambe meurtrie d'une pirouette avant d'entendre un léger craquement bien distinct. Il riposte presque aussitôt, balançant son bras de rage avant d'avancer vers toi. Tu recules, le laisse approcher : les grosses brutes comme celle-ci, ça fonce tête baissée, il suffit simplement d'attendre le bon moment pour retourner sa force à ton avantage. Il n'attend pas d'ailleurs avant de frapper à nouveau. Il profite de l'élan pour lever son poing, et frapper avec force, visant ton visage sans vergogne. Pour autant, tu fais un pas sur le côté, attrape son bras pour le retourner et tu lui assènes un magnifique coup de pied qui l'envoie balader le dos contre le mur opposé. A peine a-t-il le temps de gémir que d'un geste rapide et expert, tu fais glisser une flèche de ton carquois, l'encoche et tire, le projectile traversant son épaule et la pointe s'enfonçant profondément dans la pierre.

L'arc bandé, une nouvelle flèche encochée, tu fixes ton adversaire d'un œil menaçant - aussi menaçant que peut être le regard d'une gamine de vingt-deux ans - prête à lâcher la corde au moindre signe suspect.
You move a finger, I shoot, is that clear ?
L'homme grogne mais fini par acquiescer levant son bras libre en signe de soumission.
Good.
Tu laisses tes yeux couler en direction du rouquin avant de sentir quelque chose à tes pieds. Un arc git là, loin de son propriétaire et d'un coup de pied léger, tu le lances à l'archer.
You good over there ? Can you get up ?


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