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 birds are born to fly (( slade ))

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AuteurMessage
Dick Grayson
You never know if you can fly unless you take the risk of falling

Dick Grayson
doubles comptes : red hood ϟ deadshot couleur rp : #326278 faceclaim, crédits : avan jogia (a) twizzle (s) wadewicons pseudo, pronom(s) : twizzle (she) batarangs récoltés : 92 date d'inscription : 18/10/2022

birds are born to fly (( slade )) 9098a797744137928c11ed66e4652774b0bb7730

nom de code : [NIGHTWING] boy wonder, fils prodige, premier rouge-gorge devenu aile de nuit.
âge du personnage : [29] enfant perdu en provenance du monde imaginaire.
occupation : [GCPD] officier de police, héros, vocation de protéger.
allégeance : [FAMILY] fidèle de batman, we are robin.

liens utiles : PRESENTATION ROLEPLAY PHONE MOODBOARD PINTEREST SPOTIFY

birds are born to fly (( slade )) 6b86

(( Sometimes the lines get blurred. Sometimes the only thing between you and them is the mask and cape. ))

circus boy × redheads × gcpd officer × robin legacy × haley the pup × wally the bud × the acrobat × jump at your own risk × cereals addict × romani × lover and fighter.

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You can take the boy out of the circus
but you can’t take the circus out of the boy.


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It was good to see her laugh.
Even if it was at me.


MessageSujet: birds are born to fly (( slade ))   birds are born to fly (( slade )) Empty23.06.23 15:08

Birds are born to fly.

dick grayson && slade wilson


My head is hot the sky is grey, my shoes are so dirty and I don't give a fuck today. I'm walking like a Jedy, a song is on the radio, another cover of "world is mine". Oh birds will never fly.― Skip the Use.

Il y a des jours, comme ça, où tu préfèrerais rester couché. Blotti sous le cocon douillet de ta couette, chaleur envoûtante du confort et de la sécurité, et avec une personne à tes côtés de référence, même si c'est pas arrivé depuis une éternité. Parfois, t’as juste envie de retrouver l’âge de courir dans ta forteresse de coussins et de draps suspendus, comme t’avais l’habitude de faire au cirque quand t’étais tout minot encore. Ou alors, t’espères qu’avec la bonne quantité de volonté, tu vas réussir à fusionner avec les murs avant qu’on ne te voit, ou au moins devenir une petite souris que personne ne remarque.
Là, maintenant, t’es précisément dans ce genre de situations, une légère envie de décéder, juste comme ça.

La journée avait pourtant bien commencé, il n'y a guère plus d’une demi-heure. C’est pas ta faute, c’est ton jour de repos, naturellement t’en as profité pour t’offrir une grasse matinée aux petits oignons, comme t’en as plus fait depuis des mois. Sans Haley pour te secouer les puces, tu serais probablement encore dans ta chambre, sous ton oreiller à l’heure actuelle, treize heure quarante-cinq du matin. S’il fallait trouver une fautive, ce serait plutôt elle, petit monstre sous sa gueule d’ange, et véritable origine quant à ta présente et délicate situation. Mais qui peut décemment en vouloir à une créature aussi adorable que la petite tripode ? Certainement pas toi. Et pourtant, n’importe qui te connaissant, sait à quel point t’es pas du matin. Encore moins quand t’as patrouillé toute la nuit, après avoir patrouillé toute la journée en uniforme, et c’est sans compter sur la gestion que tu tentes de faire pour conserver ton cirque. Tes amis te disent souvent que tu vas finir par te crever à la tâche, ils ont peut-être raison. Mais toi tu veux rien lâcher, t’avances avec des œillères, tout aussi têtu et borné que ton père adoptif. Alors quand t’as de quoi faire un break, tu ne craches certainement pas dessus.
Donc, après environ deux albums des Beach Boys en guise de réveil – puisque, suite un pari, Damian t’a forcé à supprimer Rockin’ Robin – et définitivement plus de secousses de la petite pitbull, t’as finalement trouvé la force de t’extirper de ton lit, seulement pour enfiler un vieux t-shirt usé aux couleurs de Gotham University.

Et voilà où t’en es rendu à présent, planté là, au beau milieu des escaliers du manoir Wayne, celui qui fait face à la porte principale. Bruce t’avait pourtant mis en garde quelques fois, ce à quoi t’as toujours répondu que tu ne serais pas le plus gêné. Et bien, aujourd’hui, t’aimerais probablement revenir sur ces mots.
T’es pas du genre à avoir honte, encore moins te montrer pudique, pas pour ces choses-là. Mais il faut avouer que se retrouver en caleçon the Flash, chaussettes dépareillées et bol de céréales dinosaures multicolores à la main, nez-à-nez avec son ennemi le plus mortel, a de quoi déconcerter une seconde, même les plus vaillants. Tel un magnifique cerf pris dans les phares, tu stoppes tout mouvement, cuillère de lait encore complètement en bouche, comme si te transformer en statue pouvait miraculeusement te faire passer inaperçu. Comme si on allait tout bonnement omettre l'éléphant dans le salon. Haley pour sa part, n’a pas reçu le mémo : la petite boule de poils comme une fusée se faufile entre tes jambes pour gambader joyeusement sur les dernières marches, et disparait plus loin dans la bâtisse, probablement à la recherche de Titus. Tu fronces les sourcils, tes yeux glissent de l’homme en face de toi à ton propre corps, puis tu relèves la tête pour soutenir son regard à nouveau. Tu sors la cuillère vide de ta bouche, mâches le plus naturellement du monde son contenu et avales la purée de petits dinosaures, gardes le couvert d’argent dans ta main.

- Slade, tu salues tout simplement, signe de cuillère dans sa direction, faible instant de malaise potentiel déjà oublié.

Autant dans ton timbre que dans ta posture, tu restes neutre, amicalité comme animosité au placard. Parce que l’homme très vêtu en face de toi, sait déjà intimement que même si pour une raison qui te dépasse ta figure paternelle a décidé de s’associer avec lui, toi t’es bien loin de le considérer comme un allié, ou de l’accueillir à bras grands ouverts dans ton foyer. Il ne te semble pas nécessaire de le lui rappeler pour le moment, alors tu te contntes de finir ta descente majestueuse d’escaliers.
Nope, y’a pas à dire, voir le minois de Deathstroke au petit matin, tout aussi tardif que soit ledit matin, n’est clairement pas ce qui te faisait rêver pour ton jour de congé.

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Slade Wilson

Slade Wilson
couleur rp : #dc945b faceclaim, crédits : Frank Grillo, voluxpa (avatar) pseudo, pronom(s) : Areigan batarangs récoltés : 181 date d'inscription : 25/11/2022

birds are born to fly (( slade )) Wltu

nom de code : Deathstroke, le Terminator
âge du personnage : 57 ans
occupation : Mercenaire
allégeance : Bien que rallié au gouvernement de Bruce Wayne, il reste avant tout fidèle à lui-même

liens utiles : PrésentationLiens

birds are born to fly (( slade )) Ul86

MessageSujet: Re: birds are born to fly (( slade ))   birds are born to fly (( slade )) Empty17.07.23 0:27

Birds are born to fly
Slade Wilson & Dick Grayson

L’entraînement de ce matin avait été loin d’être une partie de plaisir, le forçant à serrer les dents pour les jours à venir. Son flanc lui faisait encore mal, mais au moins, ça ne saignait plus.
Durant son service, il avait appris les gestes de premier secours et comment se débrouiller pour panser une plaie, sans la présence d’un médecin. Puis à force de voir William le rafistoler, quand cela s’avérait nécessaire malgré le sérum, il avait parfaitement su s’en sortir avec sa dernière blessure. Bien qu’il soit légèrement agacé de devoir compter sa guérison en jours, plutôt qu’en heures. Bien qu’elle serait toujours largement plus rapide, que s’il n’était qu’un humain lambda. En attendant, l’homme devait faire avec cette blessure et le handicap que ça lui occasionnait. Sans surprise, ça se répercutait également sur son humeur.
Cependant, l’instructeur n’était ni connu pour sa jovialité, ni pour l’amabilité de son caractère. Aussi, il n’avait pas franchement eu besoin de se forcer pour donner le change. Ces sales gamins pouvaient bien dire ce qu’ils voulaient dans son dos, pour faire passer leur amertume, ils étaient assurés de le payer au centuple au prochain entraînement. Et pour ça, Slade avait déjà pris les devants.
Il les en avait menacé, il l’avait fait. Et aux premières lueurs du jour, les recrues avaient eu le droit à leur session au milieu de la cour, les deux pieds dans la neige. Au fur et à mesure, les rangs s’étaient grossis, lorsque certains qui ne se sentaient pas concernés, sous-estimant une nouvelle fois la finesse de l’ouïe du mercenaire. Curieux et moqueurs se retrouvèrent loger à la même enseigne que les autres. Et effectuer cinq séries de pompes, le nez dans la poudreuse, avait su faire taire sans problème, les plus grandes gueules.
Cette fois, au moins, il était assuré qu’il n’aurait pas Wayne et ses remontrances dans les pattes. Et ce n’était certainement pas Bane qui allait redire quoi que ce soit. Si tous deux se concertaient, ils pourraient faire bien pire…
À la fin de la session, Cara se risqua à venir le voir pour lui donner des nouvelles de Dave et pour s’excuser d’être sortie sans permission. Slade lui jeta un regard neutre, avant de lever l’œil au ciel.
- « Il y a un adage qui dit : "Il vaut mieux demander pardon, que la permission.". Dans ton cas, la seule chose qui mérite que tu t’excuses, c’est d’avoir ramené un blessé… Son regard se planta dans le sien, pour s’assurer qu’elle comprenne. Et j’attends toujours votre rapport de mission. » Qu’il lâcha avant de prendre congé.
Évidemment, ça ne voulait pas dire qu’elle et Seth aurait dû ramener un cadavre, bien au contraire. Personne n’aurait dû être blessé. Alors elle n’aurait même pas eu présenter des excuses.
Malheureusement, lui allait certainement devoir demander pardon. Malgré l’état mental de Wayne, il ne se trouvait pas assez altéré pour oublier de réclamer des comptes. Et partir faire son rapport, comme un gamin qui aurait été pris la main dans le pot de confiture, était la chose qu’il détestait le plus au monde. Mais de toute façon, il dira bien ce qu’il voulait, il savait très bien que le trio n’irait certainement pas contre lui. Après tout, ces idiots lui en devaient une, alors qu’il aurait très bien pu les laisser se démerder.

Slade avait fait montre de la plus mauvaise des volontés, en prenant le temps de rentrer chez lui, puis pour prendre une douche et se changer. Cependant, il voulait également s’assurer de l’état de sa blessure, sur laquelle il avait tiré en participant à l’entraînement. Celle-ci s’était remise à saigner, mais n’avait que très peu traversé le bandage. Heureusement qu’il ne s’habillait exclusivement qu’en noir. D’ici deux jours, ce ne serait qu’une vague cicatrice de plus, qui finira sûrement par disparaître avec le temps.

Arrivé au manoir, passé par la porte principale, lui faisait toujours une impression étrange. Compte tenu du nombre de fois où il avait pénétré le lieu par effraction, en se moquant bien de ce type d’ouverture, prévu à la base pour laisser entrer quiconque. Ça se saurait s’il était du genre à frapper avant d’entrer.
Ses sourcils se froncèrent lorsqu’il aperçut Seth dans le vestibule. Les deux hommes se saluèrent d’un bref signe de tête, puis son regard balayant les environs pour s’assurer qu’il n’y avait pas d’oreilles indiscrètes alentour, il lui fit signe d’approcher.
- « Je crois ne pas avoir encore reçu ton rapport de mission. Que le cinquantenaire lâchât d’un ton qui se voulait neutre.
- Je pensais le remettre directement à monsieur Wayne. Qu’avoua l’intéressé légèrement gêné. Il n’y a pas eu qu’un blessé dans cette histoire.
Son sourcil se dressa au-dessus de son œil valide, comme s’il ne voyait absolument pas de quoi il parlait.
- Personne d’autre que Dave, n’a été admis à l’infirmerie, cette nuit-là.
- Mais vous…
- C’était le sang de Dave. Slade le coupa peinant à cacher son irritation, mais aussi son trouble. Tu as effectué un tir justifié, sur un assaillant, dans l’exercice de tes fonctions. Rien de plus.
Bon sang, c’est fou ce qu’il ressemblait à Grant… Agir selon de bons principes et penser après aux conséquences. C’est ce qui l’avait perdu…
Et comme Grant, Seth était loin d’être stupide. Le plus jeune savait que la balle l’avait atteint, quand il l’avait bousculé. Mais il savait aussi quand il ne fallait pas insister.
- Maintenant, fiche-moi le camp d'ici, avant que quelqu’un ne te voit.
L’esquisse fugace d’un sourire étira un coin de sa lèvre, puis son regard tomba sur son flanc blessé.
- Merci, monsieur. » Qu’il souffla, avant de s’éclipser.

Slade le regarda partir, puis se figea en entendant des bruits de pas dans l’escalier central, qu’il aurait perçu bien plus tôt, s’il n’avait pas été distrait. Son regard se leva lentement pour se planter, tel un poignard, dans celui de la personne qu’il avait le moins envie de voir, dans de telle circonstance. Et tandis qu’ils se regardaient en chiens de faïence, le mercenaire se demanda ce qu’il avait bien pu entendre de son échange.
Sa créature à trois pattes brisa le silence, mais pas la tension qui s’installait, pour se faufiler entre les jambes de son maître, sans le faire tomber. Quel dommage. Il ne réagit même pas, alors qu’elle passa juste à côté de lui, frôlant ses mollets, pour disparaître dans la pièce adjacente.
Son œil glissa sur l’éternel adolescent qui se tenait face à lui, ne loupant rien de son t-shirt délavé, à ses chaussettes dépareillées. Sans nullement omettre ce splendide caleçon… flash ? Au moins, ce gamin n’était pas assez narcissique, pour porter ses propres couleurs sur ses sous-vêtements. Que ce soit le cas, ne l’aurait absolument pas étonné.
En d’autres circonstances, sans doute aurait-il ri. S’il avait été quelqu’un d’autre, sans doute aurait-il ri. Cependant, il ne ressentait rien d’autre qu’un désintéressement total. Voilà donc l’étalage de l’éducation de Wayne…
- « Slade.
Son simple prénom en guise de bonjour le tira de sa torpeur, faisant remonter son iris dans les siens.
- Richard. »
Il n’y avait rien de plus à répondre, tandis que l’autre termina sa descente d’escalier, toutefois sans glisser. Sans doute ne l’avait-il pas pensé assez fort pour que ça se produise. Ce type d’accident domestique arrive bien plus souvent qu’on ne le croit, pourtant. Toute surface n’est pas forcément compatible avec le simple port de chaussette, et ces marches-là, étaient parfaites pour une fracture du crâne. Le fils Wayne victime d’une chute dans les escaliers. Dommage qu’il ne portât pas de pantalon… Ça fera un super titre dans la presse à scandale. Au moins un article qu’il sera plus que ravi de lire dans sa totalité.
Le mercenaire ne put néanmoins empêcher, tout un flot de question de lui passer par la tête : « Franchement, The Flash ? », « Y a si peu de budget au GCPD que tu peux plus te payer un pantalon ? », « Wayne t’a coupé les vivres, mais pour le moment t’es en trêve hivernale ? ».
- « Le chien s’est barré avec le reste de tes fringues ? » Fut seulement la seule question qui franchit la barrière de ses lèvres.
En vérité, il s’en fichait comme de ses premières chaussettes, cependant, il n’avait pas pu s’en empêcher.



© Laueee

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